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Encouragement à l’apprentissage des langues vernaculaires au sein de la jeunesse du PAS
Les membres de la branche jeunesse du Parti Islam Se-Malaisie (PAS) ont été incités à s’engager dans l’apprentissage des langues vernaculaires afin de renforcer les liens avec les communautés non malaises.
L’importance de la communication interculturelle
Afnan Hamimi Taib Azamudden, le leader de cette branche, a souligné que la maîtrise du mandarin et du tamoul pourrait s’avérer être un atout considérable pour les membres du PAS dans leur quête de soutien auprès des électeurs non malais.
Un appel à l’action pour l’inclusivité
« Il est de notre devoir d’attirer le soutien de nos amis non malais », a-t-il déclaré, mettant en avant l’importance d’une approche inclusive pour élargir la base électorale du parti. En effet, dans un pays aussi diversifié que la Malaisie, la capacité à communiquer dans plusieurs langues peut faciliter le dialogue et renforcer les relations entre différentes communautés.
Statistiques et exemples récents
Selon les dernières données, environ 30% de la population malaisienne parle le mandarin, tandis que près de 10% utilise le tamoul comme langue principale. Ces chiffres illustrent l’importance d’une stratégie linguistique pour atteindre ces groupes. Des initiatives similaires dans d’autres pays, comme l’apprentissage de l’espagnol par des politiciens aux États-Unis pour mieux se connecter avec la communauté hispanique, montrent l’efficacité de cette approche.
Conclusion
En somme, l’apprentissage des langues vernaculaires représente une opportunité précieuse pour le PAS de renforcer ses liens avec les communautés non malaises et d’élargir son influence politique.