Des projets exploitent l’imagerie satellite pour évaluer les émissions de protoxyde d’azote provenant des champs et surveiller l’expansion des plantes ligneuses qui dégradent les prairies.
Publié le 13 août 2024 • Lecture de 2 minutes
Sur les 17 subventions récemment attribuées par l’Agence spatiale canadienne (ASC), deux sont destinées à des projets de l’Université de la Saskatchewan.
L’ASC a engagé près de 750 000 $ sur trois ans pour soutenir deux initiatives de recherche de l’U de S qui s’appuient sur des images satellites avancées.
Une équipe dirigée par le professeur d’agriculture Steve Shirtliffe recevra près de 440 000 $ sur trois ans pour un projet qui utilise l’apprentissage automatique et les données satellites afin d’identifier les zones à risque où les champs agricoles sont susceptibles d’émettre du protoxyde d’azote.
Ces informations permettront aux agriculteurs de diminuer les émissions de ce gaz à effet de serre en adoptant des « stratégies d’optimisation de l’utilisation des engrais azotés avec des produits visant à réduire les émissions globales », selon un communiqué de l’U de S.
Le projet de Shirtliffe vise à réaliser une « cartographie exhaustive » de la variabilité spatiale de chaque champ pertinent dans l’Ouest canadien en utilisant des satellites, des données de terrain et des algorithmes d’apprentissage automatique. Les données générées par ce projet devraient aider les agriculteurs à améliorer leur productivité grâce à des pratiques plus efficaces tout en réduisant les émissions.
« L’efficacité est bénéfique pour tous », a déclaré Shirtliffe dans le communiqué.
De plus, l’ASC a accordé 300 000 $ supplémentaires sur trois ans pour soutenir un projet dirigé par Xulin Guo, responsable du département de géographie et de planification de l’université.
Surveillance de l’Encroissement des Plantes Ligneuses dans les Prairies de la Saskatchewan
Une Initiative de Recherche Prometteuse
Une équipe de chercheurs de l’Université de la Saskatchewan, dirigée par Xulin Guo, s’engage à explorer de nouvelles méthodes pour surveiller l’impact de l’invasion des plantes ligneuses sur les prairies de la province. Ce projet a récemment reçu un financement de l’Agence spatiale canadienne, soulignant l’importance de l’utilisation des images satellites pour suivre cette problématique environnementale.
Importance de la Surveillance Écologique
La dégradation des prairies, causée par la prolifération de buissons et d’arbustes pouvant atteindre 1,5 mètre de hauteur, est une préoccupation croissante. Irini Soubry, l’une des chercheuses principales, a déclaré : « Il est crucial de déterminer la localisation des plantes ligneuses, leur densité dans les prairies et l’évolution de leur expansion au fil du temps. Nous devons également comprendre les facteurs qui contribuent à ce phénomène et envisager des solutions pour ralentir cette progression. »
Objectifs de Conservation
Les résultats de cette recherche devraient fournir aux gestionnaires de terres et aux écologistes des outils précieux pour mieux protéger les écosystèmes de prairies. En évaluant « la valeur économique et les bénéfices environnementaux sociaux d’un écosystème de prairie sain », les chercheurs espèrent contribuer à des stratégies de conservation plus efficaces.
Financement et Projets Connexes
L’Université de la Saskatchewan a récemment obtenu d’autres financements pour des projets liés à l’espace. En juin, la province a annoncé un investissement de 600 000 dollars sur trois ans pour un projet au sein du département de physique et de physique de l’ingénierie, où des équipes travaillent à développer des instruments destinés à une future mission satellite de la NASA.
Conclusion
Cette recherche sur l’encroissement des plantes ligneuses dans les prairies de la Saskatchewan représente une avancée significative dans la compréhension et la préservation de ces écosystèmes vitaux. Grâce à l’utilisation de technologies avancées et à un soutien financier adéquat, l’équipe de l’Université de la Saskatchewan est bien positionnée pour apporter des contributions importantes à la conservation de l’environnement.
Une Éclipse Partielle : Un Événement Astronomique Fascinant
Une éclipse partielle, phénomène captivant, suscite un intérêt croissant pour l’astronomie et l’univers. Selon un astronome de Saskatoon, cet événement incite à explorer davantage les mystères célestes qui nous entourent.
Un Phénomène Astronomique Étonnant
Les éclipses, qu’elles soient solaires ou lunaires, ont toujours fasciné l’humanité. Lors d’une éclipse partielle, la lune ne couvre qu’une partie du soleil, créant un spectacle visuel impressionnant. Ce type d’éclipse offre une occasion unique d’observer les effets de la lumière et de l’ombre sur notre planète.
Un Élan pour la Curiosité Scientifique
Les astronomes soulignent que ces événements ne sont pas seulement des spectacles visuels, mais aussi des opportunités d’apprentissage. L’éclipse partielle incite les gens à se poser des questions sur l’univers, à s’intéresser à la science et à la recherche. Par exemple, des études récentes montrent que l’engouement pour l’astronomie a augmenté de 30 % au cours des dernières années, en grande partie grâce à des événements comme celui-ci.
Un Appel à l’Observation
Pour profiter pleinement d’une éclipse partielle, il est essentiel de se préparer. Les experts recommandent d’utiliser des lunettes spéciales pour observer le phénomène en toute sécurité. De plus, il est conseillé de se rassembler en groupes pour partager l’expérience et échanger des connaissances.
Conclusion
En somme, une éclipse partielle est bien plus qu’un simple événement astronomique. Elle représente une occasion d’éveiller la curiosité et d’encourager l’exploration scientifique. En observant ces merveilles du ciel, nous renforçons notre lien avec l’univers et notre compréhension de celui-ci.