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Un événement troublant a eu lieu récemment, impliquant le prophète Paseka Mboro Motsoeneng, son fils Vincent Motsoeneng et leur garde du corps, Clément Baloyi, qui ont été placés en détention pour une semaine.

Le 7 août, le trio a fait une brève apparition devant le tribunal de première instance de Palm Ridge. Les affaires des deux autres suspects seront traitées séparément. L’audience a été reportée au 16 août, et les trois hommes ont été maintenus en détention.

Mboro et ses coaccusés font face à de graves accusations, notamment enlèvement, possession d’armes dangereuses, usage d’une arme à feu, menaces avec une arme, agression, dommages matériels intentionnels, possession d’une arme à feu sans licence et possession d’une arme à feu prohibée.

Ils ont été appréhendés après avoir fait irruption à l’école primaire Matsediso le 5 août, où ils ont menacé des enseignants et ont enlevé deux enfants de l’établissement.

Des vidéos de l’incident ont circulé sur les réseaux sociaux, montrant Mboro brandissant une machette et tentant d’attaquer des personnes.

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À l’extérieur du tribunal, une foule s’est rassemblée, certains demandant que Mboro ne bénéficie pas de liberté sous caution, tandis que d’autres, ses partisans, clamaient son innocence et exigeaient sa libération.

La porte-parole de la police du Gauteng, la colonelle Noxolo Kweza, a annoncé que cinq suspects avaient été arrêtés lundi soir et comparaîtront devant le tribunal de Palm Ridge prochainement.

« Ils font face à diverses accusations, y compris agression, manipulation imprudente d’une arme à feu pouvant mettre en danger des vies et des biens, fourniture de services de sécurité sans enregistrement, dommages matériels intentionnels et intimidation. Une arme à feu factice et des machettes ont été saisies, » a déclaré Kweza.

Elle a également mentionné qu’un des suspects avait été arrêté pour avoir agressé le commandant de la police de Katlehong North, alors qu’un groupe de personnes exigeait de s’en prendre au pasteur local devant le poste de police.

Cet incident fait suite à l’irruption de Mboro, de son personnel de sécurité et d’autres personnes à l’école primaire Matsediso, où ils ont enlevé deux enfants mineurs.

Par ailleurs, les deux autres suspects arrêtés, la grand-mère maternelle et l’oncle des enfants, ont été libérés sous caution de 1 000 rands chacun. Leur affaire a été reportée au 10 septembre.

Ils sont accusés d’agression simple et d’intimidation. Leur libération est soumise à des conditions strictes, leur interdisant de communiquer avec les suspects et de s’approcher de la maison de ces derniers.

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