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Randy Waldrum, entraîneur principal de l’équipe féminine de football du Nigeria, a exprimé sa confiance quant aux chances des Super Falcons alors qu’elles se préparent pour un match décisif contre le Japon lors de leur dernier affrontement du groupe C aux Jeux Olympiques de Paris 2024. Une victoire est cruciale pour que les Super Falcons puissent accéder aux phases à élimination directe de la compétition.
Actuellement, les Super Falcons occupent la dernière place du groupe C, n’ayant ni points ni buts après leurs deux premiers matchs. Le Japon et le Brésil ont chacun trois points, tandis que l’Espagne domine le groupe avec six points.
Malgré cette situation difficile, Waldrum reste optimiste quant à la possibilité d’une victoire contre les champions asiatiques, ce qui pourrait leur permettre de se qualifier pour les quarts de finale du tournoi.
« Étant donné le déroulement des matchs, nous avions encore besoin d’un résultat contre le Japon et avions la possibilité de passer, donc que nous perdions ou fassions match nul, nous avions encore une chance », a expliqué Waldrum. « Je pense que si nous battons le Japon, cela dépendra de ce qui se passe dans le groupe du Canada, qui a déjà six points. Je pense qu’il sera difficile pour une équipe classée troisième de sortir de ce groupe, donc cela viendra des deux autres groupes. Actuellement, le Japon a remporté une victoire tardive contre le Brésil. Ils ont donc trois points, tout comme le Brésil. Si nous obtenons un résultat contre le Japon, nous aurons également trois points, ce qui nous donnerait une possibilité de passer en tant que troisième de ce groupe. »
Les Super Falcons ont déjà affronté le Japon lors des Jeux Olympiques, remportant une victoire de 1-0 qui les avait propulsées en quart de finale lors des Jeux d’Athènes en 2004. Ce précédent historique inspire l’équipe alors qu’elle se prépare pour ce qui pourrait être un match décisif dans leur parcours olympique.
