Général
Kubernetes à 10 ans : Le chemin fascinant vers la maîtrise du stockage persistant
Kubernetes fête ses 10 ans ! À la mi-2024, nous célébrerons l’anniversaire de cette plateforme de gestion de conteneurs incontournable. Jan Safranek, ingénieur principal chez Red Hat, a été témoin de l’essor fulgurant de Kubernetes et des défis liés au stockage persistant. Des innovations comme les StatefulSets et les CSI ont transformé la manière dont les applications gèrent leurs données. À l’occasion de cette décennie, nous vous proposons une série d’interviews avec des ingénieurs qui ont façonné Kubernetes, tout en se tournant vers un avenir prometteur marqué par l’intelligence artificielle.
Kubernetes fête ses 10 ans ! À la mi-2024, la plateforme de gestion de conteneurs, leader sur le marché, célébrera son dixième anniversaire.
Jan Safranek, ingénieur logiciel principal chez Red Hat, a été témoin de l’effervescence qui a vu l’émergence de Docker, puis de Kubernetes, alors que les entreprises et les développeurs cherchaient des solutions pour assurer un stockage persistant.
Safranek a participé à l’introduction des PetSets et des StatefulSets, qui ont aidé à résoudre ce problème en gérant le déploiement et l’évolutivité des pods de conteneurs. Il a également contribué au développement des pilotes CSI (Container Storage Interface) et des Operators, qui fournissent des extensions logicielles pour gérer les applications et leurs composants.
Pour célébrer cette première décennie de Kubernetes, nous avons réalisé une série d’interviews avec des ingénieurs qui ont contribué à son développement et à la résolution des défis liés au stockage et à la protection des données, notamment à travers l’utilisation des Kubernetes Operators, tout en nous projetant vers un avenir marqué par des charges de travail en intelligence artificielle (IA).
Quel était le marché lors du lancement de Kubernetes ?
Jan Safranek : À l’époque, le monde était dominé par des serveurs physiques ou des machines virtuelles lourdes. Les conteneurs Docker ont rapidement gagné en popularité, mais il n’existait pas d’outils pour les gérer. Kubernetes a introduit un concept totalement nouveau pour exécuter des applications sous forme de morceaux légers et isolés.
Comment avez-vous été impliqué dans l’infrastructure de données autour de Kubernetes ?
Safranek : Cela a été assez simple pour moi. Je travaillais sur des outils de gestion de stockage Linux chez Red Hat et j’ai vu qu’une nouvelle équipe se formait pour aider avec Kubernetes. Je ne connaissais pas grand-chose à ce sujet, mais cela avait l’air intéressant, alors j’ai postulé.
Quand avez-vous réalisé que Kubernetes était en position de leader sur le marché ?
Safranek : C’était lors de ma première KubeCon à Seattle en 2016. Avant cela, j’avais rencontré d’autres ingénieurs qui faisaient des choses intéressantes. Mais là-bas, j’ai rencontré de vraies entreprises qui faisaient fonctionner des parties essentielles de leur infrastructure sur Kubernetes.
Comment avez-vous abordé les données et le stockage dans Kubernetes ?
Safranek : À mon arrivée dans l’équipe Kubernetes, il était déjà évident que, même si les conteneurs étaient éphémères, il fallait quelque chose de persistant dans l’ensemble. Les API de base étaient déjà présentes, même avec les premiers plugins de volume, mais personne ne savait vraiment comment les utiliser. Les PetSets ont été introduits, puis renommés StatefulSets, mais il reste encore des défis pour exécuter des applications lourdes basées sur des données sur Kubernetes.
Quels problèmes ont d’abord émergé autour des données et du stockage avec Kubernetes ?
Safranek : J’ai commencé à explorer ce qui existait déjà dans Kubernetes et comment l’utiliser. J’ai ajouté quelques exemples et tests de bout en bout pour me familiariser avec le code et le processus global. À l’époque, c’était assez simple. Je me souviens que les avancées étaient si rapides qu’il était difficile de garder mes demandes de tirage à jour.
Les premiers problèmes réels à résoudre concernaient l’exécution d’applications à état, ce qui a été résolu par les PetSets/StatefulSets, et la consommation de données à partir de systèmes de stockage externes à Kubernetes. Nous avons d’abord commencé avec du code intégré pour le stockage basé sur le cloud et quelques plugins génériques pour le stockage traditionnel comme NFS et iSCSI.
Qu’est-ce qui devait changer ?
Safranek : Avec l’adoption croissante, nous avons rapidement réalisé qu’il nous fallait un code plus robuste. Nos contrôleurs initiaux étaient très fragiles, donc nous avons dû tout réécrire pour garantir un comportement stable et cohérent. Il reste encore des améliorations à apporter, car tous ont survécu pendant des années avec seulement quelques corrections mineures.
De plus, à mesure que de plus en plus de fournisseurs de stockage souhaitaient intégrer leurs systèmes de stockage à Kubernetes, nous avons compris qu’il nous fallait une interface d’extension générique pour les plugins de volume. Nous avons d’abord proposé les FlexVolumes, qui étaient très difficiles à utiliser, mais nous avons appris et créé le CSI, qui est aujourd’hui l’interface de stockage principale de Kubernetes. Elle a connu un immense succès, avec au moins 130 pilotes qui se sont inscrits volontairement, sans compter ceux que nous ne connaissons pas.
Avec l’adoption de Kubernetes pour des infrastructures critiques, il est devenu essentiel de s’assurer que nous ne brisions rien. Il est désormais beaucoup plus difficile d’introduire une nouvelle fonctionnalité ou de modifier une existante, car de nombreuses revues et approbations sont nécessaires pour garantir la stabilité de nos versions.
Comment avez-vous été impliqué dans les Kubernetes Operators ?
Safranek : Red Hat a été l’un des premiers à adopter les Operators. Les débuts ont été assez animés. Personnellement, j’ai commencé avec quelques mauvais exemples, mais j’ai rapidement appris à écrire de bons Operators. Cela vient avec la pratique, comme tout dans le développement logiciel. De plus, il y a aujourd’hui plus de documentation que jamais.
Qu’est-ce qui a fait le succès des Operators pour les données et le stockage ?
Safranek : J’ai une expérience mitigée à ce sujet. De nombreux Operators ne sont pas meilleurs que les Helm charts [qui décrivent un ensemble de ressources Kubernetes liées]. Cependant, les bons ont aidé les entreprises à atténuer leurs difficultés avec des applications nécessitant des données persistantes. Il est toujours difficile d’exécuter correctement une application à état, en couvrant tous les cas particuliers.
Comment cela a-t-il soutenu des approches plus cloud-native ? Quelles en ont été les conséquences ?
Safranek : Comme je l’ai mentionné, il est plus facile pour les équipes DevOps de s’appuyer sur un Operator tiers pour gérer leur base de données ou d’autres charges de travail à état, leur permettant ainsi de se concentrer sur l’assemblage de ces éléments en une application performante qui fait fonctionner leur entreprise.
Kubernetes a maintenant 10 ans. Quelle est votre opinion aujourd’hui ?
Safranek : Eh bien, cela a été un parcours. Des débuts où chacun pouvait réécrire n’importe quoi à un logiciel extrêmement stable qui fait fonctionner une partie essentielle de notre monde, à un élément d’infrastructure devenu plutôt banal.
Quels problèmes persistent autour de Kubernetes en matière de données et de stockage ?
Safranek : Tous les conteneurs sont par nature éphémères et peuvent avoir une durée de vie courte. Kubernetes peut essayer de les faire fonctionner longtemps, mais lorsqu’il doit les supprimer, il le fera. Kubernetes propose certaines API, comme le PodDisruptionBudget, pour maintenir le nombre nécessaire de conteneurs en fonctionnement, mais toutes les applications à état doivent s’attendre à des interruptions. C’est un concept nouveau et il est encore difficile de le gérer correctement.
Avez-vous d’autres anecdotes ou informations à partager ?
Safranek : La meilleure chose à propos de mon travail sur Kubernetes, c’est que j’ai rencontré des personnes très intelligentes, j’ai beaucoup appris et je continue d’apprendre.
Général
Le pare-brise de la BMW Panoramic iDrive : une expérience immersive à couper le souffle !
BMW a révélé son nouveau système Panoramic iDrive, révolutionnant l’expérience de conduite avec un affichage tête haute 3D qui s’étend sur tout le pare-brise. Imaginez un intérieur où toutes les informations essentielles, comme la vitesse et les directions, sont projetées directement dans votre champ de vision ! C’est une véritable couche de réalité augmentée qui connecte le conducteur à la route.
Avec des boutons haptiques sur le volant et un écran tactile central innovant, chaque détail est conçu pour une personnalisation optimale. Préparez-vous à découvrir cette technologie futuriste dans le prochain SUV électrique X-Class de BMW fin 2025 !
Une Révolution Technologique : Le Nouveau Système BMW : un aperçu captivant du futur de l'infodivertissement »>iDrive Panoramique de BMW
une Vision d’Avenir
BMW a récemment présenté son innovant système iDrive Panoramique,qui se distingue par un affichage tête haute en 3D impressionnant,occupant l’intégralité du pare-brise. si vous pensiez que l’intérieur épuré des Tesla était à la pointe, attendez de découvrir cette nouvelle approche.
Un Affichage Révolutionnaire
Fini le tableau de bord traditionnel devant le volant. Désormais, toutes les informations sont projetées directement dans le champ de vision du conducteur via le pare-brise. Cela inclut la vitesse, les données d’assistance à la conduite, les feux de circulation, les panneaux routiers et même des indications de navigation et niveaux de batterie. Chaque élément est personnalisable pour que chaque conducteur puisse choisir ce qu’il souhaite afficher. Par exemple, lorsque l’assistance au conducteur est activée, le chemin navigué s’illumine en vert.
Frank Weber, directeur technique chez BMW, décrit cette configuration comme une couche de réalité augmentée qui maintient le conducteur connecté à la route.
Intégration des Retours Clients
La société a déclaré que l’intégration des instructions de navigation avec les données d’assistance au conducteur représente une évolution naturelle alors que nous nous dirigeons vers des niveaux plus élevés d’automatisation dans la conduite.De plus, ils ont souligné que les retours clients ont été essentiels pour façonner plusieurs fonctionnalités intelligentes affichées sur ce nouveau système.
Un Volant Repensé
Les innovations ne s’arrêtent pas au pare-brise ; BMW a également repensé son volant en y intégrant des boutons haptiques qui s’illuminent selon différents réglages.
Un nouvel écran tactile central en forme de losange accompagne cet interface sur le pare-brise et permet aux utilisateurs d’interagir directement avec lui.Ce dernier offre une interface hautement personnalisable où chacun peut prioriser ses applications favorites (appelées « pixels » par BMW) pour un accès rapide et facile. La marque envisage également un magasin d’applications pour encore plus de fonctionnalités et personnalisations.
Un Système opérationnel Innovant
Le logiciel qui alimente ce système est appelé BMW Operating System X ; il est développé entièrement en interne par l’entreprise et repose sur Android Open Source Project.
L’Intelligence Artificielle au Service du Conducteur
Aucun lancement technologique en 2025 ne serait complet sans une touche d’intelligence artificielle (IA).Le système iDrive utilise cette technologie pour apprendre les habitudes et comportements des conducteurs afin d’afficher automatiquement les applications pertinentes ainsi que leurs réglages préférés. Par exemple, si un utilisateur emprunte souvent un itinéraire spécifique vers son domicile tout en activant le mode sport, ces paramètres seront proposés proactivement lors du prochain trajet.De plus, selon BMW ,les modèles linguistiques avancés rendent les commandes vocales beaucoup plus naturelles et conversationnelles ; plutôt que d’utiliser des mots-clés spécifiques comme « station », il suffit simplement aux conducteurs dire quelque chose comme « trouve une station de recharge près du supermarché ».
Début D’une Nouvelle Ère
Ce design intérieur audacieux fera ses débuts dans le futur SUV électrique X-Class prévu fin 2025; plusieurs autres véhicules basés sur la nouvelle plateforme « Neue Klasse » suivront bientôt après cela.
Considérations Sécuritaires Émergentes
Un changement aussi radical pourrait diviser l’opinion parmi ceux attachés aux intérieurs classiques dotés depuis longtemps d’aiguilles traditionnelles et compteurs analogiques caractéristiques chez BMW . Il sera également intéressant d’observer comment la marque abordera les préoccupations relatives à la sécurité; celles-ci étant devenues cruciales pour toutes entreprises automobiles électriques adoptant entièrement interfaces tactiles . En effet , Euro NCAP introduira dès 2026 nouvelles directives exigeant certaines fonctions essentielles soient accessibles via boutons physiques afin qu’un véhicule puisse obtenir cinq étoiles lors évaluations sécurité .
Général
Nvidia révolutionne le monde physique avec GenAI et Cosmos !
Lors de la keynote très attendue du CES 2025, le PDG de Nvidia, Jensen Huang, a captivé l’audience avec des annonces révolutionnaires. Parmi les innovations présentées, le modèle Cosmos se distingue par sa capacité à transformer l’IA générative en actions physiques. Cela signifie que des robots et véhicules autonomes pourront réagir plus efficacement aux stimuli du monde réel. Nvidia ouvre ainsi la voie à une nouvelle ère d’applications robotiques et automobiles, tout en rendant ses modèles disponibles gratuitement pour encourager l’expérimentation.
Innovations Technologiques : les Annonces Marquantes de Nvidia au CES 2025
Un Événement Incontournable
Lors du CES 2025, l’une des conférences les plus attendues a été celle de Jensen Huang, le PDG de Nvidia. Ce dernier a présenté une série d’annonces captivantes touchant à divers sujets technologiques d’actualité tels que l’intelligence artificielle (IA), la robotique et les véhicules autonomes.
Nouveaux Produits et Progrès Technologiques
Vêtu d’une version scintillante de son emblématique blouson en cuir noir,Huang a détaillé les dernières cartes graphiques GeForce RTX 50 ainsi que des modèles fondamentaux d’IA appelés Nemotron. Il a également partagé des plans pour des agents alimentés par IA.
Parmi les innovations notables figurent des extensions à la plateforme Omniverse, qui permet la création de jumeaux numériques et simule l’interaction entre l’IA et le monde physique. De plus, un superordinateur AI compact nommé Project Digits a été introduit, propulsé par le GPU Grace Blackwell.
Cosmos : Une Révolution dans l’Intelligence Artificielle
Une annonce particulièrement intrigante fut celle du projet Cosmos. Ce dernier est défini comme un ensemble complet de modèles fondamentaux mondiaux intégrant des tokenizers avancés et une pipeline vidéo sophistiquée.L’objectif principal est d’étendre les capacités génératives de l’IA au-delà du numérique vers le monde physique.
En termes simples, alors que la plupart des systèmes génératifs se concentrent sur la création numérique basée sur une vaste base documentaire ou visuelle, Cosmos vise à produire des actions physiques en s’appuyant sur ses données issues d’environnements simulés numériquement.
Implications pratiques pour Divers secteurs
Les implications pratiques sont significatives pour divers domaines tels que la robotique ou les véhicules autonomes. Par exemple, grâce à Cosmos, il devient possible pour un robot humanoïde d’apprendre à exécuter efficacement une tâche spécifique comme retourner une omelette ou manipuler des pièces dans une chaîne de production.De même,un véhicule autonome peut s’adapter dynamiquement aux différentes situations rencontrées sur la route.
Actuellement,ces formations reposent souvent sur un travail manuel intensif où il faut filmer plusieurs fois chaque action humaine ou faire parcourir aux voitures autonomes plusieurs millions de kilomètres. Avec Cosmos cependant,ces méthodes peuvent être automatisées ce qui réduit considérablement coûts et délais tout en élargissant le volume de données disponibles pour entraîner ces systèmes.
La Plateforme cosmo : Un Outil Puissant
Nvidia présente donc Cosmos comme une plateforme dédiée au développement mondial fondée sur l’IA générative qui intègre divers outils facilitant cette évolution technologique rapide. En tant qu’extension directe du simulateur Omniverse déjà existant chez Nvidia, elle permet non seulement d’extrapoler les modèles numériques mais aussi leur request concrète dans notre réalité quotidienne.
Au cœur même du projet se trouvent ces modèles fondamentaux construits grâce à millions heures vidéos accumulées permettant ainsi aux machines formées avec cette technologie réagir avec précision face aux stimuli physiques variés qu’elles rencontrent dans leur environnement réel.
Vers un Avenir Prometteur
Jensen Huang n’a pas manqué souligner lors sa présentation comment nous assistons actuellement à une transition majeure vers ce qu’il appelle « l’IA physique ». en rendant ses modèles disponibles gratuitement afin encourager recherche avancée en robotique et véhicules autonomes , Nvidia montre sa volonté soutenir innovation tout en anticipant tendances futures .
À court terme cependant , cet impact pourrait rester limité car principalement destiné développeurs spécialisés . Néanmoins , son potentiel transformationnel pourrait accélérer considérablement progrès produits concernés tout en améliorant sécurité efficacité systèmes associés .Ces développements témoignent également transformation continue chez Nvidia vers entreprise axée logiciel capable bâtir plateformes adaptées nouvelles applications émergentes. Pour ceux intéressés comprendre direction future société , ces annonces offrent perspectives fascinantes quant maintien croissance impressionnante entreprise .
Général
L’écran tactile secondaire Corsair Xeneon Edge : un 32:9 qui s’installe partout !
Qu’est-ce qui vient de se passer ? Le CES est toujours une vitrine incroyable de produits technologiques, et cette année, Corsair nous surprend avec son écran tactile Xeneon Edge. Avec ses 14,5 pouces et un rapport d’aspect 32:9, cet écran secondaire pourrait bien devenir l’outil indispensable pour les passionnés de technologie. Grâce à sa résolution impressionnante de 2560 par 720 pixels et à sa connectivité polyvalente via USB Type-C ou HDMI, il s’adapte à tous vos besoins. Imaginez pouvoir gérer vos réseaux sociaux tout en surveillant votre système ! Restez à l’affût pour plus d’infos !
Nouveaux Horizons Technologiques : Le Xeneon Edge de Corsair
Qu’est-ce qui se passe ?
Chaque année, le CES présente une multitude de nouveaux produits technologiques, certains étant plus pratiques que d’autres. L’intérêt que vous portez à l’écran tactile Xeneon Edge de Corsair dépendra probablement de votre besoin d’un écran secondaire de 14,5 pouces au format 32:9.
Une Évolution des Écrans Secondaires
Bien que les écrans secondaires ne soient pas une nouveauté, leur complexité a considérablement augmenté ces dernières années. Le Xeneon Edge se distingue par son design innovant et ses caractéristiques techniques impressionnantes. Avec une résolution LCD de 2560 x 720 pixels, il offre une densité d’affichage remarquable de 183 PPI, un niveau de luminosité atteignant 350 nits et un taux de rafraîchissement à 60 Hz sur son panneau IPS.
Flexibilité et Installation
Le Xeneon Edge est conçu pour s’adapter à divers environnements. Il peut être placé sur un bureau grâce au support inclus ou fixé à un PC ou toute surface ferromagnétique grâce aux quatorze aimants intégrés. De plus, il peut être installé dans un boîtier via un point de montage pour radiateur de 360 mm, ce qui est plutôt séduisant. Corsair affirme également qu’il est plus mince qu’un ventilateur classique, minimisant ainsi les préoccupations liées à l’espace.
Connectivité et Utilisation Pratique
Pour la connexion, le dispositif utilise soit le port USB Type-C DP-Alt Mode soit un port HDMI standard. Une caractéristique intéressante est sa capacité à fonctionner en orientation verticale ou horizontale.Cela en fait un outil idéal pour ceux qui souhaitent faire défiler leurs fils d’actualités sur les réseaux sociaux ou surveiller Discord simultanément. Windows reconnaîtra le Xeneon Edge comme écran additionnel.
Corsair indique également que cet écran tactile capacitif multi-touch à cinq points fonctionne comme n’importe quel autre affichage tactile sous Windows.!Fonctionnalités du Xeneon Edge
Intégration avec iCue
L’écran s’intègre parfaitement avec le logiciel iCue de Corsair permettant aux utilisateurs d’accéder facilement aux informations concernant la vitesse des ventilateurs du système, les températures ainsi que l’utilisation du CPU et GPU. Les utilisateurs peuvent aussi ajuster différents paramètres tels que les profils lumineux et la gestion des ventilateurs directement depuis l’écran tactile.
Disponibilité et Prix
Aucune details précise n’a encore été communiquée concernant le prix du xeneon Edge; cependant, il pourrait s’avérer assez onéreux compte tenu des fonctionnalités avancées proposées par cet appareil innovant. La disponibilité est prévue pour le deuxième trimestre 2025 chez les revendeurs Corsair ainsi que sur leur site officiel.
Dans cette même veine technologique, nous avons déjà vu plusieurs écrans LCD intégrés dans des systèmes AIO (All-in-One) refroidis par liquide auparavant; notamment celui proposé par Lamptron l’année dernière qui servait également d’écran secondaire ou encore Tryx qui a dévoilé en mars dernier ce qui était considéré comme le premier refroidisseur AIO doté d’un écran AMOLED incurvé.
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