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La clé de la croissance des salaires réels : le rapport percutant de KPMG sur la productivité
La productivité en Australie : crise ou cycle économique normal ?
Un nouveau rapport de KPMG met en lumière les facteurs influençant la productivité du travail et propose des solutions politiques pour stimuler la croissance. Bien que la situation actuelle puisse sembler préoccupante, l’analyse indique que les cycles de forte productivité durent généralement deux ans, tandis que les périodes de faible productivité s’étendent sur trois ans. Avec un retour des migrants qualifiés et des investissements technologiques accrus, l’Australie pourrait sortir de ce cycle bas d’ici la mi-2024. Restez informé des dernières tendances économiques !
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La baisse de productivité en Australie : crise ou cycle économique normal ?
Un rapport récent de KPMG met en lumière les éléments qui influencent la productivité du travail et propose des solutions politiques pour stimuler la croissance. Ce document souligne qu’il est légitime de s’inquiéter si cette baisse se prolonge au-delà des périodes habituelles.
Nature cyclique de la croissance de la productivité
Selon l’analyse économétrique de KPMG, qui s’inspire d’un cadre similaire à celui de la Réserve fédérale américaine, les cycles de forte croissance de la productivité en Australie durent généralement environ deux ans, tandis que les périodes de faible productivité s’étendent légèrement plus longtemps, souvent trois ans. Le dernier pic de productivité a été observé en décembre 2022, lorsque le pays a commencé à sortir des confinements liés à la COVID, une période qui, de manière contre-intuitive, a été marquée par une productivité accrue.
Le rapport apporte une note d’optimisme, soulignant une corrélation étroite avec l’économie américaine, qui montre des signes de sortie d’une période de faible croissance. Cependant, des niveaux d’investissement technologique et de confiance des entreprises faibles, associés à des coûts salariaux unitaires élevés, pourraient freiner un renouveau de la productivité.
Facteurs clés influençant la productivité
Le rapport identifie trois facteurs principaux qui stimulent la croissance de la productivité du travail en Australie :
- Effet de momentum : Gains de productivité observés au dernier trimestre.
- Composition de la main-d’œuvre : L’arrivée de nouveaux travailleurs, souvent moins expérimentés ou moins qualifiés, surtout dans un marché du travail tendu.
- Travailleurs étrangers qualifiés : Leur intégration améliore la productivité des travailleurs natifs et introduit de nouvelles compétences et innovations, bien que cet effet se manifeste avec un certain retard.
Recommandations politiques
KPMG propose trois axes principaux pour améliorer la productivité :
- Amélioration de l’éducation et de la formation : Pour permettre aux personnes sans emploi d’acquérir de nouvelles compétences et d’améliorer leur employabilité.
- Révision des politiques migratoires : Pour garantir une utilisation optimale des migrants qualifiés.
- Flexibilité de la mobilité du travail : Assurer une flexibilité suffisante pour permettre des ajustements sur le marché du travail.
Le taux de participation élevé actuel, en partie dû à l’inclusion de personnes au chômage de longue durée, a contribué à ce cycle de faible croissance de la productivité. Le phénomène de « rétention de main-d’œuvre » durant la COVID, où les entreprises ont conservé plus de travailleurs que nécessaire, joue également un rôle.
Impact de la productivité sur la croissance des salaires
Le rapport présente des preuves mitigées concernant l’impact de la migration durant la période COVID, mais souligne le lien évident entre la migration qualifiée et une productivité accrue. Depuis fin 2022, le retour des migrants a amélioré l’adéquation des compétences sur le marché du travail.
Les recherches de KPMG montrent que, bien que la productivité du travail soit essentielle pour la croissance des salaires, des politiques universelles sont peu susceptibles d’être efficaces. Au lieu de cela, des politiques spécifiques à chaque secteur pour le capital et le travail sont recommandées.
Dr. Brendan Rynne, économiste en chef chez KPMG, a déclaré : « La productivité est le moteur principal de la croissance réelle des salaires. Les décideurs politiques devraient s’inquiéter des périodes prolongées de faible croissance de la productivité. Notre analyse suggère que l’Australie devrait sortir de ce cycle de faible productivité d’ici la mi-année prochaine, suivant des tendances similaires à celles observées aux États-Unis. »
Cependant, Rynne a averti que de faibles investissements technologiques et un sentiment d’entreprise négatif pourraient entraver cette reprise. Il a souligné la nécessité de systèmes de migration qualifiés et de visas adaptés pour améliorer la productivité.
Impact de la COVID sur la productivité
Le rapport souligne que la période COVID a été marquée par des niveaux de productivité élevés, car la réduction des heures travaillées a dépassé la baisse de la production. Les petites entreprises, généralement moins productives, ont réduit leurs heures de manière plus significative que les grandes entreprises. Après le déconfinement, une reprise rapide des heures travaillées a conduit à une baisse de la croissance de la productivité du travail.
Les fermetures de frontières durant la pandémie ont entravé l’accès aux migrants qualifiés, créant des pénuries de main-d’œuvre. Cette demande a été compensée par une augmentation des heures travaillées, entraînant une croissance négative de la productivité durant 2022-2023. La réouverture des frontières a atténué certaines pénuries, mais la croissance de la productivité reste lente.
Rynne a conclu : « La réouverture des frontières et la migration qualifiée sont essentielles pour la productivité. Des programmes d’éducation et de formation adaptés aux travailleurs peu qualifiés peuvent atténuer les départs de la main-d’œuvre. Les cadres d’emploi doivent équilibrer un traitement équitable et la flexibilité du marché du travail pour garantir la stabilité économique. »
Business
Une formidable nouvelle pour les conducteurs de voitures électriques !
Excellente nouvelle pour les conducteurs de véhicules électriques ! La recharge gratuite sur le lieu de travail sera exonérée d’impôts jusqu’en 2025. Annoncée par le ministère de l’Économie, cette mesure incitative, en place depuis 2020, s’inscrit dans une dynamique de croissance impressionnante avec une progression annuelle moyenne de 35%. Les entreprises peuvent ainsi offrir des bornes de recharge sans impact fiscal, stimulant la transition écologique. Reste à savoir si cela suffira à convaincre les entreprises hésitantes et à propulser l’électrification des flottes professionnelles vers un avenir durable.
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Technologie
Recharge Électrique au Bureau : Une Exonération Fiscale Renouvelée
Les détenteurs de véhicules électriques et leurs employeurs peuvent se réjouir : la possibilité d’effectuer des recharges gratuites sur le lieu de travail sera exonérée d’impôts jusqu’en 2025. Cette décision, annoncée par le ministère des Finances, prolonge une initiative lancée en 2020 pour encourager l’adoption des véhicules électriques dans les entreprises.
Un Secteur en Croissance Dynamique
Cette prolongation intervient à un moment clé, alors que le marché des voitures électriques continue d’afficher une croissance remarquable. Entre 2020 et 2022, la progression annuelle moyenne a atteint 35%. En 2023, les particuliers représentent désormais 84% des acquisitions de véhicules électriques, contre seulement 68% en 2018.
Concrètement,cette mesure permet aux sociétés d’installer gratuitement des bornes de recharge pour leurs employés sans impact fiscal. Les frais liés à l’électricité pour ces recharges ne seront pas pris en compte dans le calcul des avantages en nature. De plus, un abattement de 50% sur ces avantages est maintenu avec un plafond révisé à environ 2000 euros pour l’année prochaine.
Accélération Vers une Mobilité Électrique
Cette initiative fait partie d’une stratégie globale visant à promouvoir l’électrification du parc automobile français. Cependant, les grandes entreprises rencontrent encore des difficultés pour atteindre leurs objectifs ; seulement 8% des nouveaux véhicules immatriculés par ces entités étaient électriques en 2023. Ces incitations fiscales pourraient néanmoins inciter davantage d’employeurs à franchir le pas.Cependant, plusieurs défis demeurent concernant les infrastructures nécessaires au chargement ainsi que sur l’autonomie des véhicules et les perceptions parmi les employés. Par ailleurs, la réduction progressive du bonus écologique pour les utilitaires et sa diminution pour les particuliers pourraient freiner cet élan vers une adoption plus large.
Avenir Prometteur Pour La Mobilité Électrique
Malgré ces obstacles potentiels, il existe un optimisme quant au futur de la mobilité électrique dans le milieu professionnel. Les avancées technologiques continues ainsi qu’un engagement croissant envers la durabilité devraient continuer à favoriser cette tendance vers une adoption accrue des véhicules écologiques.
En maintenant ces mesures fiscales avantageuses jusqu’en 2025 et au-delà, le gouvernement délivre un message fort soutenant la transition écologique dans le secteur du transport. Reste maintenant à voir si cela suffira réellement à convaincre certaines entreprises hésitantes et si cela permettra d’accélérer significativement l’électrification de leurs flottes professionnelles dans un avenir proche.
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Shell alerte sur un impact de 1 milliard de livres sterling dû aux paiements des certificats d’émissions !
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LCQ4 : Dynamiser le développement de l’industrie du sport
Le développement de l’industrie du sport à Hong Kong est en pleine effervescence ! Alors que des régions voisines comme le Mainland et Singapour connaissent une croissance fulgurante, Hong Kong doit rattraper son retard. Avec un taux de croissance annuel moyen de seulement 2,35 % pour les activités sportives, la nécessité d’une stratégie dynamique se fait sentir. La gouvernance sportive, l’innovation et le soutien aux athlètes d’élite sont au cœur des préoccupations. Le gouvernement s’engage à investir davantage pour transformer Hong Kong en un véritable centre sportif international.
Développement de l’Industrie Sportive à Hong kong : Un Engagement Renouvelé
Introduction
Le développement du secteur sportif est devenu une priorité pour de nombreuses régions,notamment la Chine continentale et Singapour. Ces pays ont mis en place des stratégies ambitieuses pour faire progresser leur industrie sportive. En revanche, Hong Kong semble accuser un certain retard dans ce domaine. Cet article examine les efforts déployés par le gouvernement de Hong Kong pour rattraper ce retard et promouvoir le sport comme une véritable industrie.
Contexte Actuel du Secteur Sportif à Hong Kong
Récemment, un rapport publié par l’Institut Xinhua a souligné que l’industrie sportive est essentielle pour devenir une puissance sportive mondiale. Entre 2017 et 2022, la valeur ajoutée de l’industrie sportive en Chine continentale a connu une croissance annuelle moyenne impressionnante de 13,5 %. En comparaison, Hong Kong n’a enregistré qu’une augmentation modeste de 2,35 % durant la même période. Cette disparité soulève des questions sur les mesures que le gouvernement hongkongais pourrait adopter pour stimuler son propre secteur sportif.
Réponses aux Interrogations Soulevées par les Législateurs
Lors d’une récente séance au Conseil législatif, plusieurs questions ont été posées concernant les initiatives du gouvernement :
- inspiration des Politiques Étrangères :
le gouvernement s’engage à s’inspirer des politiques mises en œuvre dans d’autres régions tout en tenant compte des spécificités locales. Des exemples incluent l’innovation dans le secteur sportif et la création d’un système moderne qui favorise la consommation liée au sport.
- Établissement d’Indicateurs de Performance :
La nécessité d’établir des indicateurs clairs pour mesurer le développement du sport comme industrie est reconnue. Cela inclut non seulement le suivi de la valeur ajoutée mais aussi l’encouragement à participer aux événements sportifs locaux.
- Consultation sur Professionnalisation :
Un consultant a été engagé pour étudier comment améliorer la professionnalisation dans le secteur sportif hongkongais et ses recommandations sont actuellement examinées par les autorités compétentes.
Stratégies Clés Pour Promouvoir Le Sport Comme Industrie
Le gouvernement met en œuvre plusieurs stratégies clés :
- Soutien aux Athlètes Élites :
Des ressources considérables sont allouées au soutien des athlètes afin qu’ils puissent exceller lors des compétitions internationales.
- Événements Sportifs Majeurs :
L’organisation d’événements sportifs attire non seulement les athlètes mais également leurs familles ainsi que les spectateurs nationaux et internationaux,stimulant ainsi divers secteurs économiques tels que l’hôtellerie et la restauration.
- Développement Communautaire :
La promotion du sport au niveau communautaire encourage tous les âges à pratiquer régulièrement une activité physique grâce à divers programmes récréatifs.
Perspectives Futures avec Le Kai Tak Sports park (KTSP)
L’ouverture imminente du Kai Tak Sports Park représente un tournant majeur pour Hong Kong dans sa quête vers un développement industriel sportif robuste. Ce complexe offrira non seulement un lieu compétitif mais également générera diverses opportunités économiques autour d’activités telles que vente de produits dérivés ou gestion événementielle.Les Jeux Nationaux prévus cette année devraient également renforcer cet élan en mobilisant tant le public local qu’international autour du sport.
Conclusion: Vers Une Nouvelle Ère Pour Le Sport À Hong Kong
Avec ces initiatives stratégiques bien définies et un engagement clair envers le développement professionnel dans ce domaine, il est évident que Hong Kong aspire à transformer son paysage sportif actuel en une véritable industrie dynamique capable de rivaliser avec ses voisins régionaux tout en cultivant un fort sentiment identitaire parmi sa population locale grâce au sport.
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