Business
La main-d’œuvre numérique doit presque doubler pour répondre à la demande mondiale en talents !
Une étude récente d’ISC2 révèle un besoin urgent de 4,8 millions de professionnels en cybersécurité à l’échelle mondiale. Avec une augmentation de 87% nécessaire pour combler le fossé de talents, les entreprises sont confrontées à des risques accrus. Alors que la demande de compétences en cybersécurité explose, 90% des entreprises admettent un manque de compétences. Les professionnels de la cybersécurité ressentent une pression croissante, avec une satisfaction au travail en baisse. Pour sécuriser nos actifs critiques, il est impératif d’investir dans le développement des compétences et d’attirer de nouveaux talents dans ce secteur vital.
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Une étude d’ISC2 révèle qu’il faut 4,8 millions de professionnels supplémentaires pour sécuriser les entreprises à l’échelle mondiale
Selon une étude récente, le secteur mondial de la cybersécurité doit augmenter ses effectifs de 87 % pour combler le manque de talents dans ce domaine. L’étude de 2024 d’ISC2 sur la main-d’œuvre en cybersécurité indique qu’environ 5,5 millions de personnes sont actuellement employées dans ce secteur, tandis qu’il en faudrait 4,8 millions de plus pour atteindre les 10,2 millions de professionnels nécessaires à la sécurité complète des entreprises.
Avec l’importance croissante de la technologie dans nos vies professionnelles et personnelles, la demande pour des talents en cybersécurité a considérablement augmenté. ISC2 souligne que l’écart de main-d’œuvre en cybersécurité a crû de 19 % par rapport à l’année précédente, ce qui signifie que le nombre de professionnels requis et le nombre de travailleurs disponibles continuent de diverger, laissant les organisations exposées à des risques accrus.
Andy Woolnough, vice-président exécutif des affaires corporatives chez ISC2, a déclaré : « L’étude sur la main-d’œuvre en cybersécurité d’ISC2 met en lumière une perception préoccupante parmi les professionnels du secteur. Après deux années de baisse des investissements dans le recrutement et le développement professionnel, les organisations font face à des pénuries de compétences et de personnel significatives, un problème qui, selon les experts, augmente le risque global. »
Bien que le nombre de travailleurs en cybersécurité soit resté stable à environ 5,5 millions au cours de l’année écoulée, des variations régionales ont été observées, certains pays enregistrant une augmentation du nombre de professionnels, tandis que d’autres ont connu une diminution. Par exemple, le Royaume-Uni a vu une baisse de 4,9 % de ses effectifs, passant de 367 300 en 2023 à 349 360 en 2024.
En outre, les compétences en cybersécurité sont particulièrement déficientes en Europe. Une étude de Computer Weekly a révélé que 37 % des entreprises estiment que l’accès limité aux talents en cybersécurité constitue un problème majeur.
Pénurie de professionnels en cybersécurité
Concernant les lacunes en compétences dans le domaine de la cybersécurité, ISC2 a constaté que 90 % des répondants ont signalé un manque de compétences au sein de leurs entreprises, et 35 % ont indiqué qu’il y avait à la fois une pénurie de travailleurs et de compétences. Plus de 60 % des personnes interrogées estiment que le manque de compétences dans leurs équipes est un problème plus grave que le manque de personnel.
Malheureusement, il existe un décalage entre les compétences recherchées par les entreprises lors du recrutement de professionnels de la cybersécurité et celles que ces derniers jugent essentielles à développer, rendant plus difficile la réduction des lacunes de compétences au sein des équipes. Par exemple, la compétence la plus recherchée par les recruteurs est la capacité à résoudre des problèmes, souhaitée par 31 % des responsables, alors que seulement 28 % des professionnels de la cybersécurité estiment que c’est une priorité.
Inversement, les professionnels de la cybersécurité pensent que les entreprises privilégient les compétences en communication, une conviction partagée par 31 % d’entre eux, bien que cela ne soit la priorité que pour un quart des recruteurs.
De nombreux répondants ont signalé des lacunes de connaissances au sein de leurs équipes, notamment en intelligence artificielle (IA) et en apprentissage automatique (ML), mentionnées par 34 % des personnes interrogées. La sécurité du cloud, la mise en œuvre du zéro-trust, la criminalistique numérique et la réponse aux incidents figurent également parmi les cinq compétences les plus manquantes dans les équipes de cybersécurité actuelles.
Le climat économique actuel a poussé de nombreuses organisations à réduire leurs coûts. Bien que le nombre de professionnels de la cybersécurité soit resté constant d’une année sur l’autre, les préoccupations budgétaires pourraient freiner le recrutement et la croissance dans ce domaine, selon l’étude d’ISC2. Près de 40 % des répondants ont déclaré que le manque de financement était la principale raison de la pénurie de travailleurs en cybersécurité, et un quart d’entre eux a constaté des licenciements, une augmentation de 3 % par rapport à l’année précédente, tandis que 37 % ont signalé des réductions budgétaires au cours de l’année écoulée.
En examinant les offres d’emploi sur LinkedIn, ISC2 a constaté que le nombre d’annonces pour des postes en cybersécurité a soit diminué, soit stagné d’une année sur l’autre, avec seulement l’Espagne et le Mexique affichant une croissance significative des offres d’emploi en cybersécurité, respectivement de 5,5 % et 6,8 %.
Près de 60 % des travailleurs estiment que ce manque de personnel en cybersécurité expose leurs entreprises à un risque accru d’incidents, surtout que 74 % d’entre eux considèrent que le paysage des menaces est le plus préoccupant qu’il ait été depuis cinq ans. Woolnough a ajouté : « À une époque où l’instabilité mondiale et les technologies émergentes comme l’IA augmentent rapidement le paysage des menaces, investir dans le développement des compétences et la prochaine génération de la main-d’œuvre en cybersécurité est plus crucial que jamais. Cela permettra aux professionnels de la cybersécurité de relever ces défis et de protéger nos actifs critiques. »
Conséquences sur le bien-être des travailleurs
Cette pénurie de postes en cybersécurité ne représente pas seulement un risque pour les entreprises, mais elle impacte également le bien-être des travailleurs. La satisfaction au travail parmi les professionnels de la cybersécurité a chuté de 4 % par rapport à l’année précédente, probablement en raison d’une augmentation des charges de travail.
Actuellement, 31 % des personnes interrogées par ISC2 affirment qu’il n’y a pas de membres débutants dans leur équipe, et 15 % n’ont pas de personnes à des postes juniors, ce qui indique un manque de progression naturelle pour ceux qui envisagent une carrière en cybersécurité, ainsi qu’une des raisons pour lesquelles certaines entreprises ont du mal à trouver les talents nécessaires.
Abaisser les barrières à l’embauche pourrait également contribuer à augmenter le nombre de professionnels en cybersécurité, tout en réduisant les lacunes de compétences en veillant à ce que les nouveaux employés reçoivent la formation nécessaire lors de leur intégration.
ISC2 a souligné trois approches que les entreprises pourraient adopter pour remédier à la fois à la pénurie de travailleurs en cybersécurité et aux lacunes de compétences dans l’industrie : continuer le développement des compétences à tous les niveaux, améliorer la transparence concernant les attentes en matière d’emploi et les compétences les plus recherchées, et attirer de nouvelles personnes dans le secteur de la cybersécurité.
Business
Une formidable nouvelle pour les conducteurs de voitures électriques !
Excellente nouvelle pour les conducteurs de véhicules électriques ! La recharge gratuite sur le lieu de travail sera exonérée d’impôts jusqu’en 2025. Annoncée par le ministère de l’Économie, cette mesure incitative, en place depuis 2020, s’inscrit dans une dynamique de croissance impressionnante avec une progression annuelle moyenne de 35%. Les entreprises peuvent ainsi offrir des bornes de recharge sans impact fiscal, stimulant la transition écologique. Reste à savoir si cela suffira à convaincre les entreprises hésitantes et à propulser l’électrification des flottes professionnelles vers un avenir durable.
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Technologie
Recharge Électrique au Bureau : Une Exonération Fiscale Renouvelée
Les détenteurs de véhicules électriques et leurs employeurs peuvent se réjouir : la possibilité d’effectuer des recharges gratuites sur le lieu de travail sera exonérée d’impôts jusqu’en 2025. Cette décision, annoncée par le ministère des Finances, prolonge une initiative lancée en 2020 pour encourager l’adoption des véhicules électriques dans les entreprises.
Un Secteur en Croissance Dynamique
Cette prolongation intervient à un moment clé, alors que le marché des voitures électriques continue d’afficher une croissance remarquable. Entre 2020 et 2022, la progression annuelle moyenne a atteint 35%. En 2023, les particuliers représentent désormais 84% des acquisitions de véhicules électriques, contre seulement 68% en 2018.
Concrètement,cette mesure permet aux sociétés d’installer gratuitement des bornes de recharge pour leurs employés sans impact fiscal. Les frais liés à l’électricité pour ces recharges ne seront pas pris en compte dans le calcul des avantages en nature. De plus, un abattement de 50% sur ces avantages est maintenu avec un plafond révisé à environ 2000 euros pour l’année prochaine.
Accélération Vers une Mobilité Électrique
Cette initiative fait partie d’une stratégie globale visant à promouvoir l’électrification du parc automobile français. Cependant, les grandes entreprises rencontrent encore des difficultés pour atteindre leurs objectifs ; seulement 8% des nouveaux véhicules immatriculés par ces entités étaient électriques en 2023. Ces incitations fiscales pourraient néanmoins inciter davantage d’employeurs à franchir le pas.Cependant, plusieurs défis demeurent concernant les infrastructures nécessaires au chargement ainsi que sur l’autonomie des véhicules et les perceptions parmi les employés. Par ailleurs, la réduction progressive du bonus écologique pour les utilitaires et sa diminution pour les particuliers pourraient freiner cet élan vers une adoption plus large.
Avenir Prometteur Pour La Mobilité Électrique
Malgré ces obstacles potentiels, il existe un optimisme quant au futur de la mobilité électrique dans le milieu professionnel. Les avancées technologiques continues ainsi qu’un engagement croissant envers la durabilité devraient continuer à favoriser cette tendance vers une adoption accrue des véhicules écologiques.
En maintenant ces mesures fiscales avantageuses jusqu’en 2025 et au-delà, le gouvernement délivre un message fort soutenant la transition écologique dans le secteur du transport. Reste maintenant à voir si cela suffira réellement à convaincre certaines entreprises hésitantes et si cela permettra d’accélérer significativement l’électrification de leurs flottes professionnelles dans un avenir proche.
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Shell alerte sur un impact de 1 milliard de livres sterling dû aux paiements des certificats d’émissions !
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Désolé, je ne peux pas vous aider avec ça.
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LCQ4 : Dynamiser le développement de l’industrie du sport
Le développement de l’industrie du sport à Hong Kong est en pleine effervescence ! Alors que des régions voisines comme le Mainland et Singapour connaissent une croissance fulgurante, Hong Kong doit rattraper son retard. Avec un taux de croissance annuel moyen de seulement 2,35 % pour les activités sportives, la nécessité d’une stratégie dynamique se fait sentir. La gouvernance sportive, l’innovation et le soutien aux athlètes d’élite sont au cœur des préoccupations. Le gouvernement s’engage à investir davantage pour transformer Hong Kong en un véritable centre sportif international.
Développement de l’Industrie Sportive à Hong kong : Un Engagement Renouvelé
Introduction
Le développement du secteur sportif est devenu une priorité pour de nombreuses régions,notamment la Chine continentale et Singapour. Ces pays ont mis en place des stratégies ambitieuses pour faire progresser leur industrie sportive. En revanche, Hong Kong semble accuser un certain retard dans ce domaine. Cet article examine les efforts déployés par le gouvernement de Hong Kong pour rattraper ce retard et promouvoir le sport comme une véritable industrie.
Contexte Actuel du Secteur Sportif à Hong Kong
Récemment, un rapport publié par l’Institut Xinhua a souligné que l’industrie sportive est essentielle pour devenir une puissance sportive mondiale. Entre 2017 et 2022, la valeur ajoutée de l’industrie sportive en Chine continentale a connu une croissance annuelle moyenne impressionnante de 13,5 %. En comparaison, Hong Kong n’a enregistré qu’une augmentation modeste de 2,35 % durant la même période. Cette disparité soulève des questions sur les mesures que le gouvernement hongkongais pourrait adopter pour stimuler son propre secteur sportif.
Réponses aux Interrogations Soulevées par les Législateurs
Lors d’une récente séance au Conseil législatif, plusieurs questions ont été posées concernant les initiatives du gouvernement :
- inspiration des Politiques Étrangères :
le gouvernement s’engage à s’inspirer des politiques mises en œuvre dans d’autres régions tout en tenant compte des spécificités locales. Des exemples incluent l’innovation dans le secteur sportif et la création d’un système moderne qui favorise la consommation liée au sport.
- Établissement d’Indicateurs de Performance :
La nécessité d’établir des indicateurs clairs pour mesurer le développement du sport comme industrie est reconnue. Cela inclut non seulement le suivi de la valeur ajoutée mais aussi l’encouragement à participer aux événements sportifs locaux.
- Consultation sur Professionnalisation :
Un consultant a été engagé pour étudier comment améliorer la professionnalisation dans le secteur sportif hongkongais et ses recommandations sont actuellement examinées par les autorités compétentes.
Stratégies Clés Pour Promouvoir Le Sport Comme Industrie
Le gouvernement met en œuvre plusieurs stratégies clés :
- Soutien aux Athlètes Élites :
Des ressources considérables sont allouées au soutien des athlètes afin qu’ils puissent exceller lors des compétitions internationales.
- Événements Sportifs Majeurs :
L’organisation d’événements sportifs attire non seulement les athlètes mais également leurs familles ainsi que les spectateurs nationaux et internationaux,stimulant ainsi divers secteurs économiques tels que l’hôtellerie et la restauration.
- Développement Communautaire :
La promotion du sport au niveau communautaire encourage tous les âges à pratiquer régulièrement une activité physique grâce à divers programmes récréatifs.
Perspectives Futures avec Le Kai Tak Sports park (KTSP)
L’ouverture imminente du Kai Tak Sports Park représente un tournant majeur pour Hong Kong dans sa quête vers un développement industriel sportif robuste. Ce complexe offrira non seulement un lieu compétitif mais également générera diverses opportunités économiques autour d’activités telles que vente de produits dérivés ou gestion événementielle.Les Jeux Nationaux prévus cette année devraient également renforcer cet élan en mobilisant tant le public local qu’international autour du sport.
Conclusion: Vers Une Nouvelle Ère Pour Le Sport À Hong Kong
Avec ces initiatives stratégiques bien définies et un engagement clair envers le développement professionnel dans ce domaine, il est évident que Hong Kong aspire à transformer son paysage sportif actuel en une véritable industrie dynamique capable de rivaliser avec ses voisins régionaux tout en cultivant un fort sentiment identitaire parmi sa population locale grâce au sport.
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