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Plus de 90 leaders d’entreprise de renom soutiennent Kamala Harris pour la présidence !
À l’approche des élections présidentielles de 2024, plus de 90 dirigeants d’entreprises influents ont exprimé leur soutien à Kamala Harris, soulignant son aptitude à créer un environnement économique stable. Parmi eux, des figures emblématiques comme Mark Cuban et Earvin “Magic” Johnson affirment que son élection est essentielle pour la force de notre démocratie et de notre économie. Ces leaders d’opinion croient fermement que Harris continuera à promouvoir des politiques favorables aux entreprises, garantissant ainsi la compétitivité des industries américaines sur la scène mondiale.
WASHINGTON DC, ÉTATS-UNIS – À l’approche de l’élection présidentielle de 2024, plus de 90 dirigeants d’entreprises influents ont exprimé leur soutien à la vice-présidente Kamala Harris, soulignant sa capacité à créer un environnement commercial stable et prévisible.
Parmi les signataires figurent des personnalités telles que le milliardaire investisseur Mark Cuban, la légende du basketball et entrepreneur Earvin « Magic » Johnson, ainsi que l’ancien PDG de 21st Century Fox, James Murdoch. Ils affirment que Harris est la candidate idéale pour préserver la force et la stabilité de la démocratie et de l’économie américaines.
Ces dirigeants, issus de secteurs variés allant de la technologie à la finance, ont signé une lettre exprimant leur confiance dans le leadership de Harris et son engagement à promouvoir des politiques favorisant la concurrence équitable et la croissance économique.
« Son élection est le meilleur moyen de soutenir la force, la sécurité et la fiabilité continues de notre démocratie et de notre économie », ont écrit les signataires dans leur endorsement collectif. Cette lettre a été initialement rapportée par CNBC.
Un soutien massif des leaders d’entreprise
Les signataires incluent un large éventail de dirigeants d’entreprises actuels et anciens, parmi lesquels des figures de proue comme Laurene Powell Jobs, veuve du fondateur d’Apple Steve Jobs et présidente de l’Emerson Collective, l’ancien PDG de Starbucks Laxman Narasimhan, et Rosalind Brewer, ancienne PDG de Walgreens et Sam’s Club.
Ensemble, ces leaders forment une coalition puissante soutenant Harris, signalant que la communauté des affaires la considère comme une force stable pour l’économie dans un paysage politique tumultueux.
Mark Cuban, connu pour ses opinions franches sur les affaires et la politique, a rejoint cette initiative aux côtés de Michael Lynton, président de Snap, et de Ken Frazier, ancien PDG de Merck.
Les signataires de la lettre ont exprimé leur conviction que Harris poursuivra son bilan d’avancées en matière de politiques favorables aux entreprises, qu’ils estiment essentielles pour maintenir la compétitivité des industries américaines sur le marché mondial.
Le soutien public de James Murdoch à Harris est particulièrement notable, compte tenu des orientations politiques de sa famille. Son père, Rupert Murdoch, est un magnat des médias influent dans les cercles politiques conservateurs.
Cependant, James Murdoch, qui s’est distancé des idéologies d’extrême droite, a clairement marqué son soutien en rejoignant les leaders d’entreprise qui soutiennent Harris.
De l’autre côté du spectre politique, le candidat républicain Donald Trump a également obtenu le soutien de plusieurs figures d’affaires influentes.
Le PDG de Tesla et SpaceX, Elon Musk, le gestionnaire de fonds spéculatifs Bill Ackman, et le capital-risqueur Marc Andreessen figurent parmi ceux qui soutiennent la candidature de Trump à la réélection.
De nombreux partisans de Trump louent ses réductions d’impôts et ses politiques de déréglementation, les considérant comme essentielles pour favoriser l’innovation et la croissance des entreprises américaines.
Cependant, les dirigeants d’entreprise qui soutiennent Harris critiquent l’approche de Trump, en particulier ses politiques commerciales imprévisibles et ses plans tarifaires, qu’ils estiment susceptibles de déstabiliser l’économie américaine.
Ils soulignent que la main ferme de Harris et sa vision claire des politiques économiques sont des raisons clés de leur soutien.
Le message de la communauté des affaires
La lettre complète soutenant Harris se lit comme suit :
« Nous soutenons l’élection de Kamala Harris en tant que présidente des États-Unis. Son élection est le meilleur moyen de garantir la force, la sécurité et la fiabilité continues de notre démocratie et de notre économie. Avec Kamala Harris à la Maison Blanche, la communauté des affaires peut être assurée d’avoir une présidente qui souhaite voir les industries américaines prospérer. En tant que partenaire du président Biden, la vice-présidente Harris a un solide bilan d’actions visant à stimuler les investissements commerciaux aux États-Unis et à garantir que les entreprises américaines puissent rivaliser et gagner sur le marché mondial. Elle continuera à promouvoir des politiques équitables et prévisibles qui soutiennent l’état de droit, la stabilité et un environnement commercial sain, et elle s’efforcera de donner à chaque Américain l’opportunité de réaliser le rêve américain. »
La liste des signataires comprend d’anciens PDG de grandes entreprises, tels que Ken Chenault d’American Express, Peter Orszag de Lazard, et Reid Hoffman, co-fondateur de LinkedIn.
D’autres figures influentes, comme Sean Parker, fondateur de Napster, et Steve Westly, fondateur de The Westly Group, ont également apporté leur soutien à cette endorsement.
Vers l’avenir
Le soutien de Kamala Harris par plus de 90 dirigeants d’entreprises met en lumière la profonde division au sein du monde des affaires américain à l’approche de l’élection de 2024.
Alors que Trump continue de bénéficier du soutien de plusieurs grands acteurs corporatifs, la coalition derrière Harris reflète un désir croissant de leadership stable, de politiques équitables et d’un engagement envers l’état de droit.
À mesure que l’élection approche, l’impact de ces endorsements reste à voir, mais le soutien d’un groupe aussi puissant pourrait influencer les électeurs, en particulier ceux préoccupés par la stabilité économique.
LISTE COMPLÈTE DES DIRIGEANTS D’ENTREPRISES QUI ONT SOUTENU HARRIS
- Roger Altman, Fondateur et Président Senior d’Evercore
- Shellye Archambeau, ancienne PDG de MetricStream
- Carl Bass, ancien PDG d’Autodesk
- Tom Bernstein, Président et Co-Fondateur de Chelsea Piers
- Afsaneh Beschloss, Fondatrice et PDG de Rock Creek
- Jeff Bewkes, ancien PDG de Time Warner
- W. Michael Blumenthal, 64e Secrétaire au Trésor des États-Unis et ancien PDG de Bendix et Unisys
- Rosalind « Roz » Brewer, ancienne PDG de Sam’s Club; ancienne PDG de Walgreens Boots Alliance; ancienne COO de Starbucks
- Ursula Burns, ancienne PDG de Xerox; Présidente de Teneo; Partenaire Fondatrice d’Integrum Holdings
- Maverick Carter, PDG de The SpringHill Company
- Ken Chenault, Président et Directeur Général de General Catalyst et ancien Président et PDG d’American Express
- Peter Chernin, Co-Fondateur et Partenaire de TCG
- Tony Coles, Présidente et ancienne PDG de Cerevel
- Tim Collins, Fondateur, PDG et Directeur Général Senior de Ripplewood
- Ron Conway, Fondateur et Partenaire Gérant de SV Angel
- W. Don Cornwell, Co-fondateur, ancien Président et PDG de Granite Broadcasting Corporation
- Robert Crandall, ancien Président et Président d’American Airlines
- Mark Cuban, Co-fondateur de costplusdrugs.com
- Richelieu Dennis, Fondateur et Président Exécutif de Sundial Group of Companies
- Barry Diller, Président et Exécutif Senior d’IAC et Exécutif Senior d’Expedia; Ancien Président et PDG de Paramount Pictures et Fox, Inc.
- John Doerr, Président de Kleiner Perkins
- Arnold Donald, ancien PDG de Carnival Corporation
- Eugene J. Duffy, Banquier d’Investissement
- Blair Effron, Partenaire et Co-Fondateur de Centerview Partners
- José E. Feliciano, Co-Fondateur et Partenaire Gérant de Clearlake Capital Group
- David P. Fialkow, Co-Fondateur et Directeur Général de General Catalyst
- Anne Finucane, ancienne Vice-Présidente de Bank of America
- Lynn Forester de Rothschild, Directrice Générale d’E.L. Rothschild
- Ken Frazier, ancien Président Exécutif, Président et PDG de Merck
- Mark Gallogly, Co-Fondateur et Principal Gérant de Three Cairns Group; Co-Fondateur de Centerbridge Partners
- Chad Gifford, Ancien Président de Bank of America
- David Grain, Fondateur et PDG de Grain Management
- Logan Green, Président et ancien PDG de Lyft
- Daniel J. Halpern, Co-fondateur et PDG de Jackmont Hospitality
- Bruce Heyman, Ancien Ambassadeur des États-Unis au Canada et ancien Directeur Général de Private Wealth chez Goldman Sachs
- Mellody Hobson, Co-PDG et Présidente d’Ariel Investments; Présidente de Starbucks
- Roger Hochschild, ancien PDG et Président de Discover Financial Services
- Reid Hoffman, Partenaire chez Greylock Partners et Co-Fondateur et Président Exécutif de LinkedIn
- Glenn Hutchins, Président de North Island ou Co-Fondateur de Silver Lake
- Blake Irving, ancien PDG de GoDaddy
- Tony James, ancien Président, PDG et Vice-Président Exécutif de Blackstone; Fondateur de Jefferson River Capital
- David Jacobson, Conseiller Senior et ancien Vice-Président de BMO Financial Group; Ancien Ambassadeur des États-Unis au Canada
- Earvin « Magic » Johnson, Président et PDG de Magic Johnson Enterprises
- Brad Karp, Président de Paul, Weiss
- Jeffrey Katzenberg, Fondateur et Partenaire Gérant de WndrCo
- Ellen Kullman, Présidente et PDG de Carbon3; ancienne Présidente et PDG de DuPont
- Todd Lachman, Fondateur de Sovos Brands
- Chris Larsen, Co-Fondateur et Président Exécutif de Ripple
- Jeff Lawson, ancien PDG de Twilio
- Ted Leonsis, PDG de Monumental Sports & Entertainment
- Aaron Levie, Co-Fondateur et PDG de Box
- Ed Lewis, ancien Président et PDG d’Essence Communications, co-fondateur d’Essence Magazine
- William M. Lewis, Jr.
- Michael Lynton, Président de Snap, Inc., ancien PDG de Sony Entertainment
- Tracy V. Maitland, Président et Directeur des Investissements d’Advent Capital Management
- Helena Maus, PDG d’Archetype et Marker Collective
- Marissa Mayer, co-fondatrice et PDG de Sunshine Products, ancienne PDG de Yahoo!
- T.J. McGill, Co-Fondateur d’Evergreen Pacific Partners et Suzanne Sinegal McGill, Co-Fondatrice de Rwanda Girls Initiative
- Danny Meyer, Fondateur et Président Exécutif de Union Square Hospitality Group
- Raymond J. McGuire, Président de Lazard
- Dustin Moskovitz, Co-fondateur et PDG d’Asana
- Alan Mulally, ancien PDG de Ford
- Anne Mulcahy, ancienne Présidente et PDG de Xerox
- James Murdoch, Fondateur et PDG de Lupa Systems; ancien PDG de 21st Century Fox
- Laxman Narasimhan, ancien PDG de Starbucks
- Indra Nooyi, ancienne Présidente et PDG de PepsiCo
- Peter Orszag, ancien Directeur du Bureau de la gestion et du budget des États-Unis et PDG de Lazard
- Deven J. Parekh, Directeur Général d’Insight Partners
- Sean Parker, Fondateur de Napster; Fondateur et Président de Parker Institute for Cancer Immunotherapy
- Charles Phillips, Co-fondateur et Partenaire Gérant de Recognize; ancien Président d’Oracle et ancien PDG d’Infor;
- Laurene Powell Jobs, Fondatrice et Présidente de l’Emerson Collective
- Penny Pritzker, 38e Secrétaire au Commerce des États-Unis; fondatrice et Présidente de PSP Partners
- Vasant Prabhu, ancien CFO et Vice-Président de Visa
- Spencer Rascoff, Fondateur et PDG de 75 & Sunny Ventures; Co-Fondateur et ancien PDG de Zillow
- Punit Renjen
- Rachel Romer, Fondatrice de Guild Education
- Robert Rubin, ancien Secrétaire au Trésor des États-Unis; Conseiller Senior chez Centerview Partners
- Kevin P. Ryan, Co-fondateur de MongoDB, Business Insider, GILT Groupe, Zola, Pearl Health, Affect Therapeutics, et Transcend Therapeutics
- Faiza J. Saeed
- Dan Schulman, ancien Président et PDG de PayPal
- Jim Sinegal, Co-Fondateur et ancien PDG de Costco
- Dan Springer, ancien PDG de Docusign
- Tom Steyer, Fondateur et ancien Co-Senior-Managing-Partner de Farallon Capital
- Jeremy Stoppelman, PDG de Yelp
- Scott Stuart, Partenaire Fondateur et Gérant de Sageview Capital
- Larry Summers, 71e Secrétaire au Trésor des États-Unis et Président Émérite de l’Université Harvard
- Hamdi Ulukaya, Fondateur et PDG de Chobani
- Daniel Weiss, Co-Fondateur et Partenaire Gérant d’Angeleno Group
- Steve Westly, Fondateur et Partenaire Gérant de The Westly Group
- Ron Williams, ancien PDG d’Aetna
- Robert Wolf, ancien PDG d’UBS Americas
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Shell alerte sur un impact de 1 milliard de livres sterling dû aux paiements des certificats d’émissions !
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LCQ4 : Dynamiser le développement de l’industrie du sport
Le développement de l’industrie du sport à Hong Kong est en pleine effervescence ! Alors que des régions voisines comme le Mainland et Singapour connaissent une croissance fulgurante, Hong Kong doit rattraper son retard. Avec un taux de croissance annuel moyen de seulement 2,35 % pour les activités sportives, la nécessité d’une stratégie dynamique se fait sentir. La gouvernance sportive, l’innovation et le soutien aux athlètes d’élite sont au cœur des préoccupations. Le gouvernement s’engage à investir davantage pour transformer Hong Kong en un véritable centre sportif international.
Développement de l’Industrie Sportive à Hong kong : Un Engagement Renouvelé
Introduction
Le développement du secteur sportif est devenu une priorité pour de nombreuses régions,notamment la Chine continentale et Singapour. Ces pays ont mis en place des stratégies ambitieuses pour faire progresser leur industrie sportive. En revanche, Hong Kong semble accuser un certain retard dans ce domaine. Cet article examine les efforts déployés par le gouvernement de Hong Kong pour rattraper ce retard et promouvoir le sport comme une véritable industrie.
Contexte Actuel du Secteur Sportif à Hong Kong
Récemment, un rapport publié par l’Institut Xinhua a souligné que l’industrie sportive est essentielle pour devenir une puissance sportive mondiale. Entre 2017 et 2022, la valeur ajoutée de l’industrie sportive en Chine continentale a connu une croissance annuelle moyenne impressionnante de 13,5 %. En comparaison, Hong Kong n’a enregistré qu’une augmentation modeste de 2,35 % durant la même période. Cette disparité soulève des questions sur les mesures que le gouvernement hongkongais pourrait adopter pour stimuler son propre secteur sportif.
Réponses aux Interrogations Soulevées par les Législateurs
Lors d’une récente séance au Conseil législatif, plusieurs questions ont été posées concernant les initiatives du gouvernement :
- inspiration des Politiques Étrangères :
le gouvernement s’engage à s’inspirer des politiques mises en œuvre dans d’autres régions tout en tenant compte des spécificités locales. Des exemples incluent l’innovation dans le secteur sportif et la création d’un système moderne qui favorise la consommation liée au sport.
- Établissement d’Indicateurs de Performance :
La nécessité d’établir des indicateurs clairs pour mesurer le développement du sport comme industrie est reconnue. Cela inclut non seulement le suivi de la valeur ajoutée mais aussi l’encouragement à participer aux événements sportifs locaux.
- Consultation sur Professionnalisation :
Un consultant a été engagé pour étudier comment améliorer la professionnalisation dans le secteur sportif hongkongais et ses recommandations sont actuellement examinées par les autorités compétentes.
Stratégies Clés Pour Promouvoir Le Sport Comme Industrie
Le gouvernement met en œuvre plusieurs stratégies clés :
- Soutien aux Athlètes Élites :
Des ressources considérables sont allouées au soutien des athlètes afin qu’ils puissent exceller lors des compétitions internationales.
- Événements Sportifs Majeurs :
L’organisation d’événements sportifs attire non seulement les athlètes mais également leurs familles ainsi que les spectateurs nationaux et internationaux,stimulant ainsi divers secteurs économiques tels que l’hôtellerie et la restauration.
- Développement Communautaire :
La promotion du sport au niveau communautaire encourage tous les âges à pratiquer régulièrement une activité physique grâce à divers programmes récréatifs.
Perspectives Futures avec Le Kai Tak Sports park (KTSP)
L’ouverture imminente du Kai Tak Sports Park représente un tournant majeur pour Hong Kong dans sa quête vers un développement industriel sportif robuste. Ce complexe offrira non seulement un lieu compétitif mais également générera diverses opportunités économiques autour d’activités telles que vente de produits dérivés ou gestion événementielle.Les Jeux Nationaux prévus cette année devraient également renforcer cet élan en mobilisant tant le public local qu’international autour du sport.
Conclusion: Vers Une Nouvelle Ère Pour Le Sport À Hong Kong
Avec ces initiatives stratégiques bien définies et un engagement clair envers le développement professionnel dans ce domaine, il est évident que Hong Kong aspire à transformer son paysage sportif actuel en une véritable industrie dynamique capable de rivaliser avec ses voisins régionaux tout en cultivant un fort sentiment identitaire parmi sa population locale grâce au sport.
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Apple va établir une usine de production d’AirTags à Batam pour répondre à 65 % de la demande mondiale, annonce un ministre indonésien
JAKARTA : Le géant technologique Apple s’apprête à ouvrir une nouvelle usine à Batam dès le début de l’année prochaine pour produire son dispositif de suivi AirTag. Selon le ministre des Investissements, Rosan Roeslani, cette installation fournira 65 % des besoins mondiaux d’Apple en AirTags. Ce projet s’inscrit dans un investissement colossal d’un milliard de dollars en Indonésie, visant à relancer les négociations après l’interdiction de vente de l’iPhone 16. Une promesse qui pourrait transformer le paysage technologique indonésien !
apple investit dans la Fabrication en Indonésie
Ouverture d’une Usine à Batam
JAKARTA : Le géant technologique Apple prévoit d’ouvrir une nouvelle installation à batam d’ici le début de l’année prochaine pour produire son dispositif de suivi AirTag,a annoncé un ministre indonésien.
Le ministre des Investissements, Rosan Roeslani, a précisé que cette usine sera responsable de 65 % des besoins mondiaux d’Apple en matière d’AirTag. Ce petit appareil en forme de pièce est présenté par la société comme une solution simple pour suivre ses objets personnels.
Objectifs Stratégiques et engagements Financiers
Cette initiative est perçue comme une tentative pour inciter Jakarta à lever l’interdiction sur les ventes de l’iPhone 16 dans le pays. lors d’une déclaration faite mardi (7 janvier),Rosan a affirmé que l’entreprise était « entièrement engagée dans la première phase de construction » de cette usine dédiée aux AirTags.
Selon le Jakarta Globe, cette installation fait partie d’un investissement global promis par Apple s’élevant à 1 milliard USD en Indonésie. « Ceci n’est que la première étape et davantage de fournisseurs d’Apple viendront (en Indonésie), ce qui augmentera finalement cet engagement financier », a ajouté Rosan.
Négociations Actuelles avec les Autorités Indonésiennes
Cette semaine, apple a entamé un nouveau cycle de négociations concernant ses projets d’investissement en Indonésie. Nick ammann, vice-président des affaires gouvernementales mondiales chez Apple, s’est rendu auprès des autorités locales pour discuter avec Rosan ainsi qu’avec le ministre de l’Industrie Agus Gumiwang Kartasasmita.
D’après Tempo, Ammann avait déjà rencontré Rosan en novembre dernier après que l’Indonésie ait interdit la vente du modèle iPhone 16 un mois plus tôt. La plus grande économie du Sud-Est asiatique avait justifié sa décision par le non-respect par Apple des réglementations locales sur le contenu qui exigent qu’au moins 40 % des composants ou processus soient produits localement afin d’attirer davantage les investissements étrangers.
En réponse à ces exigences, Apple avait initialement proposé un investissement supplémentaire de 10 millions USD avant d’augmenter son offre à 100 millions USD puis finalement atteindre 1 milliard USD – montant jugé acceptable par le président Prabowo Subianto selon Bloomberg.
Perspectives et Conditions Posées par jakarta
Rosan a également mentionné que la stratégie investissante adoptée par Apple pourrait ressembler à celle mise en œuvre dans d’autres économies du Sud-Est asiatique ; au Vietnam, plus de 30 fournisseurs collaborent déjà avec eux tandis qu’en Thaïlande on compte plus de 23 partenaires commerciaux.
Le ministre Agus Gumiwang Kartasasmita a souligné que bien que les discussions avancent positivement concernant cet investissement potentiel, il reste encore beaucoup à faire avant qu’un accord définitif ne soit atteint. Il a précisé qu’Apple doit respecter quatre principes fondamentaux établis par Jakarta : évaluer ses activités dans divers pays ainsi que celles menées par ses concurrents tels que Samsung ou Xiaomi en Indonésie ; examiner comment ces investissements peuvent générer une valeur ajoutée pour le pays ; et surtout créer des opportunités professionnelles locales significatives grâce aux investissements réalisés.
Agus insiste sur l’importance cruciale du nombre emplois créés grâce aux initiatives financières proposées par Apple tout en affirmant qu’il n’y aura pas deadline imposée quant au moment où ces investissements devront être réalisés : « Nous ne fixons pas un calendrier précis; nous pouvons conclure aujourd’hui ou demain… L’essentiel est la substance même des investissements », conclut-il.
Conclusion: Un Avenir Prometteur?
Nick Ammann s’est exprimé après sa rencontre avec les ministres indonésiens indiquant avoir eu « une excellente discussion ». À ce jour, bien qu’Apple ne dispose pas encore d’usines manufacturières sur place depuis son arrivée sur le marché indonésien – où elle gère depuis plusieurs années des académies dédiées au développement applicatif – cet engagement marque potentiellement un tournant significatif vers une présence industrielle accrue dans ce pays dynamique.
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