Singapour rappelle les mooncakes en peau de neige à la patate douce de Baker’s Cottage en raison d’une alerte à l’E. coli en Malaisie !

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Selon une déclaration faite hier par l’Agence alimentaire de Singapour, les niveaux d’E. coli détectés dans les gâteaux de lune en peau de neige de Baker’s Cottage dépassent les limites autorisées par les réglementations de sécurité alimentaire de Singapour. — Image fournie par l’Agence alimentaire de Singapour

SINGAPOUR, 14 septembre — Un lot de gâteaux de lune en peau de neige à la patate douce provenant de Malaisie a été jugé impropre à la consommation en raison de niveaux d’Escherichia coli (E. coli) excessivement élevés.

Hier, le Straits Times a rapporté que l’Agence alimentaire de Singapour (SFA) a déclaré que les niveaux d’E. coli détectés dans les gâteaux de lune en peau de neige de Baker’s Cottage dépassaient les limites autorisées par les normes de sécurité alimentaire de Singapour.

En conséquence, la SFA a ordonné à l’importateur, Ewayz, de procéder au rappel des gâteaux de lune concernés, qui portent une date d’expiration au 31 décembre 2024.

L’E. coli est un type de pathogène d’origine alimentaire que l’on trouve couramment dans les intestins des humains et des animaux. La contamination peut survenir lors de la production en raison de la contamination croisée.

Dans son communiqué, la SFA a précisé que bien que la plupart des souches d’E. coli soient inoffensives, certaines peuvent provoquer des maladies. Par exemple, l’E. coli producteur de toxine Shiga peut endommager les intestins, entraînant des symptômes graves tels que diarrhée et vomissements.

Dans les cas graves, en particulier chez les groupes vulnérables comme les jeunes enfants, les personnes âgées et celles ayant un système immunitaire affaibli, l’infection peut entraîner une insuffisance rénale, voire la mort.

La SFA a conseillé aux consommateurs ayant acheté ces gâteaux de lune de ne pas les consommer.

Quiconque a déjà mangé les gâteaux de lune concernés et s’inquiète pour sa santé devrait consulter un professionnel de la santé, a ajouté l’agence.

Pour toute question supplémentaire, les consommateurs doivent contacter leur point de vente.