Neurologie : Nouvelles et réflexions sur le domaine de la neurologie et des neurosciences

Le lien complexe entre le sommeil et la démence a été mis en lumière par le New York Times. Une étude menée par le Biobank du Royaume-Uni a également exploré comment le sommeil, le chronotype et d’autres éléments peuvent influencer les capacités cognitives, comme rapporté dans BMJ Public Health.

Des recherches ont montré que le propofol pourrait provoquer une perte de conscience en perturbant l’équilibre entre la stabilité et l’excitabilité du cerveau, selon Neuron. De plus, des facteurs tels que le sexe et l’origine ethnique ont été identifiés comme des prédicteurs d’un parcours récurrent dans la maladie associée aux anticorps de la glycoprotéine oligodendrocytaire de myéline (MOGAD), avec un traitement précoce réduisant le risque d’un second épisode, comme l’indique le Journal of Neurology, Neurosurgery & Psychiatry.

Trois contributeurs de STAT ont soutenu que le trouble neurologique fonctionnel pourrait ne pas être un diagnostic approprié pour les personnes souffrant de COVID long. Dans un modèle murin de sclérose en plaques (SEP), des facteurs microbiens intestinaux ont été associés à la gravité de la maladie, selon Nature Microbiology. Une autre étude sur des souris a révélé que des modifications temporaires du contenu du liquide céphalorachidien pourraient jouer un rôle dans les migraines, comme rapporté dans Science.

Un groupe de neurologues a exprimé des réserves quant à l’adoption des nouvelles définitions biologiques proposées pour la maladie de Parkinson, selon JAMA Neurology. Un golfeur atteint de la maladie de Parkinson a joué quotidiennement pendant 1 200 jours pour améliorer sa mobilité et collecter des fonds pour des œuvres caritatives liées à cette maladie, comme le rapporte la BBC.

Des chercheurs ont également identifié des marqueurs du microbiome intestinal associés au trouble du spectre autistique, selon Nature Microbiology. La couverture par le CMS de l’amyloïde PET pour la maladie d’Alzheimer est-elle trop restrictive ? s’interroge JAMA Neurology. Enfin, le New York a partagé les histoires de dix personnes ayant découvert qu’elles étaient homozygotes pour le gène APOE4.

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