Bien que les résultats financiers de Tesla pour le deuxième trimestre aient montré une faiblesse des bénéfices par action, la véritable nouvelle marquante est la confirmation de l’avenir de Tesla dans le domaine de l’IA et de l’énergie.
La capacité de l’usine Megapack en Chine va être portée à plus de 80 GWh par an, au lieu des 40 GWh initialement prévus.
Les Megapacks de Tesla se distinguent de ceux de leurs concurrents chinois grâce à un logiciel innovant.
La demande pour le stockage d’énergie est en forte augmentation.
Le stockage d’énergie fixe sera essentiel pour tripler la production énergétique mondiale d’ici 2040-2050, ce qui représenterait 50 000 TWh de nouvelle électricité. Cela nécessiterait la construction de plus de 1000 usines de Megapack de 40 GWh par an, qu’elles soient de Tesla ou d’autres fabricants.
Tesla est en pourparlers avec plusieurs fabricants d’équipements d’origine (OEM) pour la licence de son système de conduite autonome (FSD). Tesla ne s’engagera dans ces discussions que si chaque constructeur s’engage à produire au moins un million de véhicules par an.
En 2025, Tesla prévoit de produire des milliers de Teslabots pour les utiliser dans ses propres usines, avant de passer à une production de masse et de les commercialiser à partir de 2026.
Les améliorations du FSD devraient permettre à Tesla de commencer des tests sans conducteurs humains d’ici la fin de 2024. Elon Musk sera surpris si ces tests ne débutent pas en 2025.
La formation en IA de Tesla Dojo sera compétitive par rapport aux puces Nvidia.
Elon Musk a réitéré l’importance de l’inférence d’IA distribuée.
