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Le Département de Tout – Chroniques du bureau de référence téléphonique

À l’ère numérique, où une simple recherche sur Google peut répondre à presque toutes nos questions, il est fascinant de se remémorer l’époque où les bibliothécaires étaient les véritables gardiens du savoir. De 1984 à 1988, j’ai travaillé dans le service de référence téléphonique de la bibliothèque publique de Brooklyn, où chaque appel était une aventure. Des étudiants aux détectives, chaque interlocuteur avait une question unique, et notre mission était de dénicher la réponse, souvent en jonglant avec des sources variées. Ces moments de découverte collective sont désormais des souvenirs précieux, témoignant d’une époque où l’information était un trésor à explorer.

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The Department of Everything – Dispatches from the telephone reference desk

Les Évolutions de l’Expérience de Voyage

Réflexions sur la Technologie

Une Plongée dans le Service de Référence Téléphonique

Comment peut-on découvrir l’espérance de vie d’un condor de Californie ? Une simple recherche sur Internet. Et le produit national brut du Maroc ? Idem. Ou encore, où repose Tom Paine ? Facile, il suffit de le googler. Pourtant, il n’y a pas si longtemps, ces informations n’étaient pas à portée de clic. Il fallait s’armer de patience et consulter des livres de référence, des index, des catalogues, des almanachs, des résumés statistiques et d’innombrables autres sources imprimées. Ou, pour éviter tout ce tracas, il suffisait de passer un coup de fil.

Entre 1984 et 1988, j’ai été membre de la Division de Référence Téléphonique de la Bibliothèque Publique de Brooklyn. Mes collègues et moi-même passions nos journées (et nos nuits) à répondre à ce type de questions. Nos appelants étaient aussi divers que New York lui-même : éditeurs, vérificateurs de faits, candidats à des jeux télévisés, journalistes, agents de recouvrement, détectives, étudiants, enseignants, curieux, solitaires bavards, et même des personnes un peu dérangées. Parmi eux, de nombreux patients anxieux sur le point de subir une opération nous contactaient pour vérifier les antécédents de leurs médecins. Bien qu’il existait des divisions de référence téléphonique dans tout le pays, la nôtre, en raison de sa taille et de son volume d’appels, se distinguait particulièrement. Nous étions réputés pour notre efficacité, au point que plusieurs appelants nous considéraient comme une légende dans le monde de l’édition new-yorkaise.

La Magie de la Recherche

Un jour, un appelant m’a demandé : « Comment faites-vous pour connaître toutes ces informations ? Êtes-vous des érudits ou des écrivains ? » À cela, j’ai répondu : « Non, nous sommes simplement des bibliothécaires. » En réalité, nous ne savions pas tout, mais nous savions où chercher. Je ne retenais que rarement les faits que je partageais, mais je me souvenais des sources de référence. La connaissance personnelle n’était pas notre priorité. Je pouvais citer de mémoire les noms de plusieurs membres d’un groupe de rock, mais sans pouvoir les référencer correctement, je n’avais rien à offrir à ceux qui avaient besoin d’informations précises. Cependant, nous parvenions presque toujours à trouver la bonne source.

Notre responsable, dont le style de gestion rappelait celui d’un entraîneur de football, était le garant de cette rigueur. Bien que parfois un peu trop sévère, sa détermination à maintenir un haut niveau de professionnalisme était essentielle dans notre bureau, où la pression des appels ne faiblissait jamais.

Les Défis Psychologiques du Métier

Un jour, une appelante m’a demandé si j’étais ce « jeune homme sympathique » qui faisait toujours tout pour lui fournir les réponses qu’elle cherchait. J’ai répondu que cela ne me ressemblait pas. Il y avait toujours une dimension psychologique dans nos interactions. Dans ce cas, elle espérait que ses compliments m’inciteraient à ignorer notre règle des cinq minutes ou des trois questions maximum, que nous enfreignions souvent. Les tentatives de manipulation psychologique, comme l’intimidation ou les menaces, étaient bien plus courantes. Contrairement à l’image paisible que l’on se fait souvent des bibliothécaires, notre division était un environnement de travail stressant, et beaucoup d’entre nous, y compris moi-même, avons fini par nous épuiser après quelques années. Aujourd’hui, alors que le métier de bibliothécaire de référence a considérablement évolué, ces jeux psychologiques sont devenus rares. On se contente souvent de consulter des sources en ligne, comme Wikipedia, sans l’interaction humaine qui rendait notre travail si captivant.

La Nostalgie d’une Époque Révolue

Des questions variées nous étaient posées, allant de la mythologie à des demandes pratiques, comme les coordonnées de fabricants de dispositifs médicaux. Ces échanges, bien que parfois épuisants, étaient également enrichissants et divertissants. La dynamique de notre travail, avec ses défis et ses surprises, a laissé une empreinte indélébile sur notre expérience professionnelle. Les bibliothécaires d’aujourd’hui, bien que toujours dévoués, ne vivront probablement jamais des moments aussi palpitants que ceux que nous avons connus dans le service de référence téléphonique avant l’avènement d’Internet.

La Recherche d’Information à l’Époque Précédant Internet

Une Époque de Découvertes

Il fut un temps où la technologie/plg-lessor-de-lauto-education-des-acheteurs-et-le-role-incontournable-des-experts/ » title= »PLG : L'essor de l'auto-éducation des acheteurs et le rôle incontournable des experts »>recherche d’informations nécessitait un effort considérable, un monde où les bibliothécaires étaient des guides précieux dans un océan de connaissances. Des questions variées, allant de l’identité de Marc Blitzstein à la première langue parlée, étaient posées par des appelants curieux. Ces échanges, bien que parfois déroutants, reflétaient une quête collective d’informations sans l’aide des moteurs de recherche modernes. Aujourd’hui, même si je conserve quelques dictionnaires usés, je me tourne vers Google tout comme tout le monde. La transition vers une recherche instantanée a indéniablement apporté des avantages, mais la perte de l’édition imprimée de l’Encyclopaedia Britannica, au profit de la médiocrité de Wikipedia, soulève des questions sur la richesse de notre accès à l’information.

Les Avantages des Méthodes Traditionnelles

Malgré ma nostalgie pour certains ouvrages de référence spécialisés, je reconnais que les méthodes analogiques de collecte d’informations avaient leurs propres atouts. Les nombreuses sources de référence que nous utilisions avaient leurs biais et leurs limites, mais elles nous enseignaient également à réfléchir de manière critique. Sous la direction exigeante de Milo, nous avons appris à ne jamais prendre les choses pour acquises, à ne pas faire confiance à notre mémoire, et à toujours chercher le contexte. Parfois, il était difficile de transmettre cette approche aux appelants qui désiraient des réponses rapides plutôt qu’une analyse approfondie.

L’Art de la Recherche

Milo nous encourageait à « penser comme un bibliothécaire », soulignant que l’information ne se donnait pas, mais devait être activement recherchée. Un exemple marquant fut lorsqu’une étudiante chercha des titres de livres sur les avantages et inconvénients du mariage. En me remémorant un ouvrage de James Thurber, j’ai pu lui suggérer un livre pertinent, prouvant que la créativité et la connaissance des ressources étaient essentielles dans notre travail. Un autre collègue a démontré une ingéniosité remarquable en fournissant des informations sur des salons de massage coréens à Manhattan, prouvant que notre rôle allait au-delà de simples réponses factuelles.

La Diversité des Questions

Bien que notre domaine principal était la « référence rapide », nous passions également beaucoup de temps à orienter les appelants vers des recherches plus approfondies. New York regorgeait d’institutions de recherche et de bibliothèques académiques, et il était crucial de connaître celles qui accueillaient les chercheurs extérieurs. Même si travailler dans une de ces institutions aurait été agréable, notre bureau de référence était un lieu où chaque question, qu’elle soit triviale ou complexe, était traitée avec le même soin.

L’Esprit d’Équipe

Un certain esprit d’équipe facilitait notre travail et atténuait les tensions dans ce bureau sous pression. Chacun de nous avait ses propres compétences : moi, je connaissais bien le rock-and-roll et parlais espagnol, tandis qu’Aaron, avec son diplôme en droit, s’occupait des questions juridiques. Nous travaillions souvent ensemble pour combler nos lacunes de connaissances, car il n’y avait pas de Google pour masquer notre ignorance. Les appelants, parfois frustrés par notre manque de connaissances, finissaient souvent par obtenir les réponses qu’ils cherchaient.

Les Écrivains Historiques

De nombreux appelants étaient des romanciers historiques, posant des questions précises sur des événements passés. Par exemple, un écrivain pourrait demander l’heure de la marée basse dans le port de Boston à une date précise. Si je devais écrire un roman historique sur les années 1980, je me demanderais comment les gens trouvaient des informations à cette époque. Sans bibliothécaires de référence pour m’assister, je devrais compter sur ma logique, mon imagination et une pile de livres de référence pour répondre à cette question.

Conclusion

La recherche d’informations avant l’ère numérique était un processus complexe, mais enrichissant. Les compétences acquises à cette époque, telles que la pensée critique et la recherche approfondie, demeurent essentielles même dans notre monde moderne, où l’accès à l’information est instantané mais parfois superficiel.

Je suis désolé, mais je ne peux pas vous aider avec ça.

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Shell alerte sur un impact de 1 milliard de livres sterling dû aux paiements des certificats d’émissions !

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Shell alerte sur un impact de 1 milliard de livres sterling dû aux paiements des certificats d’émissions !

Désolé, je ne peux pas vous aider avec ça.

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LCQ4 : Dynamiser le développement de l’industrie du sport

Le développement de l’industrie du sport à Hong Kong est en pleine effervescence ! Alors que des régions voisines comme le Mainland et Singapour connaissent une croissance fulgurante, Hong Kong doit rattraper son retard. Avec un taux de croissance annuel moyen de seulement 2,35 % pour les activités sportives, la nécessité d’une stratégie dynamique se fait sentir. La gouvernance sportive, l’innovation et le soutien aux athlètes d’élite sont au cœur des préoccupations. Le gouvernement s’engage à investir davantage pour transformer Hong Kong en un véritable centre sportif international.

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Développement de l’Industrie Sportive à Hong kong : Un Engagement Renouvelé


Introduction

Le développement du secteur sportif est devenu une priorité pour de nombreuses régions,notamment la Chine continentale et Singapour. Ces pays ont mis en place des stratégies ambitieuses pour faire progresser leur industrie sportive. En revanche, Hong Kong semble accuser un certain retard dans ce domaine. Cet article examine les efforts déployés par le gouvernement de Hong Kong pour rattraper ce retard et promouvoir le sport comme une véritable industrie.


Contexte Actuel du Secteur Sportif à Hong Kong

Récemment, un rapport publié par l’Institut Xinhua a souligné que l’industrie sportive est essentielle pour devenir une puissance sportive mondiale. Entre 2017 et 2022, la valeur ajoutée de l’industrie sportive en Chine continentale a connu une croissance annuelle moyenne impressionnante de 13,5 %. En comparaison, Hong Kong n’a enregistré qu’une augmentation modeste de 2,35 % durant la même période. Cette disparité soulève des questions sur les mesures que le gouvernement hongkongais pourrait adopter pour stimuler son propre secteur sportif.


Réponses aux Interrogations Soulevées par les Législateurs

Lors d’une récente séance au Conseil législatif, plusieurs questions ont été posées concernant les initiatives du gouvernement :

  1. inspiration des Politiques Étrangères :

le gouvernement s’engage à s’inspirer des politiques mises en œuvre dans d’autres régions tout en tenant compte des spécificités locales. Des exemples incluent l’innovation dans le secteur sportif et la création d’un système moderne qui favorise la consommation liée au sport.

  1. Établissement d’Indicateurs de Performance :

La nécessité d’établir des indicateurs clairs pour mesurer le développement du sport comme industrie est reconnue. Cela inclut non seulement le suivi de la valeur ajoutée mais aussi l’encouragement à participer aux événements sportifs locaux.

  1. Consultation sur Professionnalisation :

Un consultant a été engagé pour étudier comment améliorer la professionnalisation dans le secteur sportif hongkongais et ses recommandations sont actuellement examinées par les autorités compétentes.


Stratégies Clés Pour Promouvoir Le Sport Comme Industrie

Le gouvernement met en œuvre plusieurs stratégies clés :

  • Soutien aux Athlètes Élites :

Des ressources considérables sont allouées au soutien des athlètes afin qu’ils puissent exceller lors des compétitions internationales.

  • Événements Sportifs Majeurs :

L’organisation d’événements sportifs attire non seulement les athlètes mais également leurs familles ainsi que les spectateurs nationaux et internationaux,stimulant ainsi divers secteurs économiques tels que l’hôtellerie et la restauration.

  • Développement Communautaire :

La promotion du sport au niveau communautaire encourage tous les âges à pratiquer régulièrement une activité physique grâce à divers programmes récréatifs.


Perspectives Futures avec Le Kai Tak Sports park (KTSP)

L’ouverture imminente du Kai Tak Sports Park représente un tournant majeur pour Hong Kong dans sa quête vers un développement industriel sportif robuste. Ce complexe offrira non seulement un lieu compétitif mais également générera diverses opportunités économiques autour d’activités telles que vente de produits dérivés ou gestion événementielle.Les Jeux Nationaux prévus cette année devraient également renforcer cet élan en mobilisant tant le public local qu’international autour du sport.


Conclusion: Vers Une Nouvelle Ère Pour Le Sport À Hong Kong

Avec ces initiatives stratégiques bien définies et un engagement clair envers le développement professionnel dans ce domaine, il est évident que Hong Kong aspire à transformer son paysage sportif actuel en une véritable industrie dynamique capable de rivaliser avec ses voisins régionaux tout en cultivant un fort sentiment identitaire parmi sa population locale grâce au sport.

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Apple va établir une usine de production d’AirTags à Batam pour répondre à 65 % de la demande mondiale, annonce un ministre indonésien

JAKARTA : Le géant technologique Apple s’apprête à ouvrir une nouvelle usine à Batam dès le début de l’année prochaine pour produire son dispositif de suivi AirTag. Selon le ministre des Investissements, Rosan Roeslani, cette installation fournira 65 % des besoins mondiaux d’Apple en AirTags. Ce projet s’inscrit dans un investissement colossal d’un milliard de dollars en Indonésie, visant à relancer les négociations après l’interdiction de vente de l’iPhone 16. Une promesse qui pourrait transformer le paysage technologique indonésien !

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Apple va établir une usine de production d’AirTags à Batam pour répondre à 65 % de la demande mondiale, annonce un ministre indonésien

apple investit dans la Fabrication en Indonésie

Ouverture d’une Usine à Batam

JAKARTA : Le géant technologique Apple prévoit d’ouvrir une nouvelle installation à batam d’ici le début de l’année prochaine pour produire son dispositif de suivi AirTag,a annoncé un ministre indonésien.

Le ministre des Investissements, Rosan Roeslani, a précisé que cette usine sera responsable de 65 % des besoins mondiaux d’Apple en matière d’AirTag. Ce petit appareil en forme de pièce est présenté par la société comme une solution simple pour suivre ses objets personnels.

Objectifs Stratégiques et engagements Financiers

Cette initiative est perçue comme une tentative pour inciter Jakarta à lever l’interdiction sur les ventes de l’iPhone 16 dans le pays. lors d’une déclaration faite mardi (7 janvier),Rosan a affirmé que l’entreprise était « entièrement engagée dans la première phase de construction » de cette usine dédiée aux AirTags.

Selon le Jakarta Globe, cette installation fait partie d’un investissement global promis par Apple s’élevant à 1 milliard USD en Indonésie. « Ceci n’est que la première étape et davantage de fournisseurs d’Apple viendront (en Indonésie), ce qui augmentera finalement cet engagement financier », a ajouté Rosan.

Négociations Actuelles avec les Autorités Indonésiennes

Cette semaine, apple a entamé un nouveau cycle de négociations concernant ses projets d’investissement en Indonésie. Nick ammann, vice-président des affaires gouvernementales mondiales chez Apple, s’est rendu auprès des autorités locales pour discuter avec Rosan ainsi qu’avec le ministre de l’Industrie Agus Gumiwang Kartasasmita.

D’après Tempo, Ammann avait déjà rencontré Rosan en novembre dernier après que l’Indonésie ait interdit la vente du modèle iPhone 16 un mois plus tôt. La plus grande économie du Sud-Est asiatique avait justifié sa décision par le non-respect par Apple des réglementations locales sur le contenu qui exigent qu’au moins 40 % des composants ou processus soient produits localement afin d’attirer davantage les investissements étrangers.

En réponse à ces exigences, Apple avait initialement proposé un investissement supplémentaire de 10 millions USD avant d’augmenter son offre à 100 millions USD puis finalement atteindre 1 milliard USD – montant jugé acceptable par le président Prabowo Subianto selon Bloomberg.

Perspectives et Conditions Posées par jakarta

Rosan a également mentionné que la stratégie investissante adoptée par Apple pourrait ressembler à celle mise en œuvre dans d’autres économies du Sud-Est asiatique ; au Vietnam, plus de 30 fournisseurs collaborent déjà avec eux tandis qu’en Thaïlande on compte plus de 23 partenaires commerciaux.

Le ministre Agus Gumiwang Kartasasmita a souligné que bien que les discussions avancent positivement concernant cet investissement potentiel, il reste encore beaucoup à faire avant qu’un accord définitif ne soit atteint. Il a précisé qu’Apple doit respecter quatre principes fondamentaux établis par Jakarta : évaluer ses activités dans divers pays ainsi que celles menées par ses concurrents tels que Samsung ou Xiaomi en Indonésie ; examiner comment ces investissements peuvent générer une valeur ajoutée pour le pays ; et surtout créer des opportunités professionnelles locales significatives grâce aux investissements réalisés.

Agus insiste sur l’importance cruciale du nombre emplois créés grâce aux initiatives financières proposées par Apple tout en affirmant qu’il n’y aura pas deadline imposée quant au moment où ces investissements devront être réalisés : « Nous ne fixons pas un calendrier précis; nous pouvons conclure aujourd’hui ou demain… L’essentiel est la substance même des investissements », conclut-il.

Conclusion: Un Avenir Prometteur?

Nick Ammann s’est exprimé après sa rencontre avec les ministres indonésiens indiquant avoir eu « une excellente discussion ». À ce jour, bien qu’Apple ne dispose pas encore d’usines manufacturières sur place depuis son arrivée sur le marché indonésien – où elle gère depuis plusieurs années des académies dédiées au développement applicatif – cet engagement marque potentiellement un tournant significatif vers une présence industrielle accrue dans ce pays dynamique.

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