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La pression persiste sur le secteur des sables bitumineux malgré le silence après la loi sur le greenwashing, selon un groupe de réflexion
CALGARY — L’industrie des sables bitumineux du Canada fait face à une pression croissante pour réduire son empreinte carbone. Malgré l’adoption de nouvelles lois anti-greenwashing, le Pathways Alliance, un consortium de six entreprises, reste silencieux depuis juin. Cependant, le Pembina Institute insiste sur l’importance de poursuivre le projet de capture et de stockage du carbone de 16,5 milliards de dollars. Matt Dreis, analyste senior, souligne que ces lois ne devraient pas freiner les décisions d’investissement cruciales. L’avenir de l’industrie dépend de l’innovation et de l’engagement envers des pratiques durables.
Industrie des Canada finance une étude sur l'impact des sables bitumineux sur les communautés autochtones »>sables bitumineux au Canada : Vers une réduction des émissions de gaz à effet de serre
CALGARY – L’industrie des sables bitumineux au Canada fait face à une pression croissante pour diminuer son empreinte carbone, malgré une communication restreinte des entreprises suite à l’adoption de nouvelles législations anti-greenwashing.
Le consortium Pathways Alliance : Un engagement silencieux
Le Pathways Alliance, qui regroupe six entreprises engagées à atteindre des émissions nettes nulles de gaz à effet de serre dans la production de sables bitumineux, est resté relativement discret depuis juin, date à laquelle le gouvernement fédéral a modifié la Loi sur la concurrence canadienne pour y inclure une nouvelle disposition anti-greenwashing.
Cependant, l’institut de réflexion sur l’énergie propre, Pembina Institute, a souligné que les préoccupations liées à cette nouvelle législation ne devraient pas freiner le consortium dans la mise en œuvre de son projet de capture et de stockage du carbone, évalué à 16,5 milliards de dollars.
Appel à l’action pour la capture du carbone
Matt Dreis, analyste senior en pétrole et gaz au Pembina Institute, a déclaré : « La législation sur le greenwashing n’empêche pas l’annonce de décisions d’investissement finales concernant des projets de capture du carbone ou de réduction des émissions. » Il a ajouté que pour maintenir une position de leader dans ce secteur, il est crucial de faire avancer des projets comme celui-ci.
Proposé il y a trois ans, le réseau de capture et de stockage du carbone dans le nord de l’Alberta n’a pas encore reçu de feu vert officiel de la part du consortium, bien qu’il ait soumis plusieurs demandes réglementaires.
Répercussions de la nouvelle législation
Suite à l’adoption des nouvelles règles sur le greenwashing, le groupe industriel a retiré presque tout son contenu de son site web, car les entreprises doivent désormais fournir des preuves pour soutenir leurs affirmations environnementales. La législation stipule que les entreprises ne peuvent faire de déclarations publiques sur leurs actions en faveur de l’environnement que si celles-ci reposent sur des « preuves adéquates et appropriées, conformément à une méthodologie reconnue internationalement ».
Kendall Dilling, président du Pathways Alliance, a déclaré par courriel que le groupe continue de travailler sur son projet majeur et collabore avec les gouvernements fédéral et provinciaux pour déterminer la meilleure manière de faciliter les investissements dans des projets d’envergure.
Impact sur les pratiques de reporting environnemental
Une enquête récente menée par ATB Capital Markets a révélé que 53 % des producteurs de pétrole et de gaz interrogés estiment que les nouvelles règles anti-greenwashing auront un impact « très significatif » sur leurs pratiques de reporting environnemental. Réalisée entre le 28 août et le 9 septembre, l’enquête a également montré une baisse notable de la volonté des entreprises énergétiques d’investir dans des technologies environnementales basées sur un mandat ESG, passant de 34 % à seulement 17 %.
Comparaison avec d’autres projets de capture de carbone
Dreis a exprimé ses inquiétudes quant à l’absence de décision d’investissement finale de la part du Pathways Alliance, surtout que l’industrie des sables bitumineux est le secteur le plus polluant du Canada, tandis que des projets de capture et de stockage du carbone avancent ailleurs. En juin, Shell a approuvé deux projets visant à capturer et stocker les émissions de carbone de sa raffinerie Scotford près d’Edmonton. En juillet, Strathcona Resources a annoncé un partenariat avec le Canada Growth Fund, qui pourrait voir l’entité fédérale contribuer jusqu’à 2 milliards de dollars pour les projets de capture de carbone de l’entreprise à Cold Lake et Lloydminster.
Ces annonces ont eu lieu après que le gouvernement fédéral a finalisé un crédit d’impôt pour les projets de capture et de stockage du carbone, une mesure pour laquelle des émetteurs lourds comme le Pathways Alliance avaient plaidé. Cependant, Dreis a souligné que ce crédit d’impôt à lui seul ne suffit pas à inciter l’industrie à agir de manière significative.
Perspectives d’avenir pour le Pathways Alliance
Le Pathways Alliance a précédemment affirmé que son réseau de capture et de stockage du carbone pourrait permettre à ses entreprises membres d’atteindre une réduction de 32 % par rapport aux niveaux d’émissions de 2019 d’ici 2030. Dilling a exprimé son espoir qu’une décision d’investissement finale soit prise avant la fin de 2025, avec un début de construction prévu pour 2026.
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LCQ4 : Dynamiser le développement de l’industrie du sport
Le développement de l’industrie du sport à Hong Kong est en pleine effervescence ! Alors que des régions voisines comme le Mainland et Singapour connaissent une croissance fulgurante, Hong Kong doit rattraper son retard. Avec un taux de croissance annuel moyen de seulement 2,35 % pour les activités sportives, la nécessité d’une stratégie dynamique se fait sentir. La gouvernance sportive, l’innovation et le soutien aux athlètes d’élite sont au cœur des préoccupations. Le gouvernement s’engage à investir davantage pour transformer Hong Kong en un véritable centre sportif international.
Développement de l’Industrie Sportive à Hong kong : Un Engagement Renouvelé
Introduction
Le développement du secteur sportif est devenu une priorité pour de nombreuses régions,notamment la Chine continentale et Singapour. Ces pays ont mis en place des stratégies ambitieuses pour faire progresser leur industrie sportive. En revanche, Hong Kong semble accuser un certain retard dans ce domaine. Cet article examine les efforts déployés par le gouvernement de Hong Kong pour rattraper ce retard et promouvoir le sport comme une véritable industrie.
Contexte Actuel du Secteur Sportif à Hong Kong
Récemment, un rapport publié par l’Institut Xinhua a souligné que l’industrie sportive est essentielle pour devenir une puissance sportive mondiale. Entre 2017 et 2022, la valeur ajoutée de l’industrie sportive en Chine continentale a connu une croissance annuelle moyenne impressionnante de 13,5 %. En comparaison, Hong Kong n’a enregistré qu’une augmentation modeste de 2,35 % durant la même période. Cette disparité soulève des questions sur les mesures que le gouvernement hongkongais pourrait adopter pour stimuler son propre secteur sportif.
Réponses aux Interrogations Soulevées par les Législateurs
Lors d’une récente séance au Conseil législatif, plusieurs questions ont été posées concernant les initiatives du gouvernement :
- inspiration des Politiques Étrangères :
le gouvernement s’engage à s’inspirer des politiques mises en œuvre dans d’autres régions tout en tenant compte des spécificités locales. Des exemples incluent l’innovation dans le secteur sportif et la création d’un système moderne qui favorise la consommation liée au sport.
- Établissement d’Indicateurs de Performance :
La nécessité d’établir des indicateurs clairs pour mesurer le développement du sport comme industrie est reconnue. Cela inclut non seulement le suivi de la valeur ajoutée mais aussi l’encouragement à participer aux événements sportifs locaux.
- Consultation sur Professionnalisation :
Un consultant a été engagé pour étudier comment améliorer la professionnalisation dans le secteur sportif hongkongais et ses recommandations sont actuellement examinées par les autorités compétentes.
Stratégies Clés Pour Promouvoir Le Sport Comme Industrie
Le gouvernement met en œuvre plusieurs stratégies clés :
- Soutien aux Athlètes Élites :
Des ressources considérables sont allouées au soutien des athlètes afin qu’ils puissent exceller lors des compétitions internationales.
- Événements Sportifs Majeurs :
L’organisation d’événements sportifs attire non seulement les athlètes mais également leurs familles ainsi que les spectateurs nationaux et internationaux,stimulant ainsi divers secteurs économiques tels que l’hôtellerie et la restauration.
- Développement Communautaire :
La promotion du sport au niveau communautaire encourage tous les âges à pratiquer régulièrement une activité physique grâce à divers programmes récréatifs.
Perspectives Futures avec Le Kai Tak Sports park (KTSP)
L’ouverture imminente du Kai Tak Sports Park représente un tournant majeur pour Hong Kong dans sa quête vers un développement industriel sportif robuste. Ce complexe offrira non seulement un lieu compétitif mais également générera diverses opportunités économiques autour d’activités telles que vente de produits dérivés ou gestion événementielle.Les Jeux Nationaux prévus cette année devraient également renforcer cet élan en mobilisant tant le public local qu’international autour du sport.
Conclusion: Vers Une Nouvelle Ère Pour Le Sport À Hong Kong
Avec ces initiatives stratégiques bien définies et un engagement clair envers le développement professionnel dans ce domaine, il est évident que Hong Kong aspire à transformer son paysage sportif actuel en une véritable industrie dynamique capable de rivaliser avec ses voisins régionaux tout en cultivant un fort sentiment identitaire parmi sa population locale grâce au sport.
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Apple va établir une usine de production d’AirTags à Batam pour répondre à 65 % de la demande mondiale, annonce un ministre indonésien
JAKARTA : Le géant technologique Apple s’apprête à ouvrir une nouvelle usine à Batam dès le début de l’année prochaine pour produire son dispositif de suivi AirTag. Selon le ministre des Investissements, Rosan Roeslani, cette installation fournira 65 % des besoins mondiaux d’Apple en AirTags. Ce projet s’inscrit dans un investissement colossal d’un milliard de dollars en Indonésie, visant à relancer les négociations après l’interdiction de vente de l’iPhone 16. Une promesse qui pourrait transformer le paysage technologique indonésien !
apple investit dans la Fabrication en Indonésie
Ouverture d’une Usine à Batam
JAKARTA : Le géant technologique Apple prévoit d’ouvrir une nouvelle installation à batam d’ici le début de l’année prochaine pour produire son dispositif de suivi AirTag,a annoncé un ministre indonésien.
Le ministre des Investissements, Rosan Roeslani, a précisé que cette usine sera responsable de 65 % des besoins mondiaux d’Apple en matière d’AirTag. Ce petit appareil en forme de pièce est présenté par la société comme une solution simple pour suivre ses objets personnels.
Objectifs Stratégiques et engagements Financiers
Cette initiative est perçue comme une tentative pour inciter Jakarta à lever l’interdiction sur les ventes de l’iPhone 16 dans le pays. lors d’une déclaration faite mardi (7 janvier),Rosan a affirmé que l’entreprise était « entièrement engagée dans la première phase de construction » de cette usine dédiée aux AirTags.
Selon le Jakarta Globe, cette installation fait partie d’un investissement global promis par Apple s’élevant à 1 milliard USD en Indonésie. « Ceci n’est que la première étape et davantage de fournisseurs d’Apple viendront (en Indonésie), ce qui augmentera finalement cet engagement financier », a ajouté Rosan.
Négociations Actuelles avec les Autorités Indonésiennes
Cette semaine, apple a entamé un nouveau cycle de négociations concernant ses projets d’investissement en Indonésie. Nick ammann, vice-président des affaires gouvernementales mondiales chez Apple, s’est rendu auprès des autorités locales pour discuter avec Rosan ainsi qu’avec le ministre de l’Industrie Agus Gumiwang Kartasasmita.
D’après Tempo, Ammann avait déjà rencontré Rosan en novembre dernier après que l’Indonésie ait interdit la vente du modèle iPhone 16 un mois plus tôt. La plus grande économie du Sud-Est asiatique avait justifié sa décision par le non-respect par Apple des réglementations locales sur le contenu qui exigent qu’au moins 40 % des composants ou processus soient produits localement afin d’attirer davantage les investissements étrangers.
En réponse à ces exigences, Apple avait initialement proposé un investissement supplémentaire de 10 millions USD avant d’augmenter son offre à 100 millions USD puis finalement atteindre 1 milliard USD – montant jugé acceptable par le président Prabowo Subianto selon Bloomberg.
Perspectives et Conditions Posées par jakarta
Rosan a également mentionné que la stratégie investissante adoptée par Apple pourrait ressembler à celle mise en œuvre dans d’autres économies du Sud-Est asiatique ; au Vietnam, plus de 30 fournisseurs collaborent déjà avec eux tandis qu’en Thaïlande on compte plus de 23 partenaires commerciaux.
Le ministre Agus Gumiwang Kartasasmita a souligné que bien que les discussions avancent positivement concernant cet investissement potentiel, il reste encore beaucoup à faire avant qu’un accord définitif ne soit atteint. Il a précisé qu’Apple doit respecter quatre principes fondamentaux établis par Jakarta : évaluer ses activités dans divers pays ainsi que celles menées par ses concurrents tels que Samsung ou Xiaomi en Indonésie ; examiner comment ces investissements peuvent générer une valeur ajoutée pour le pays ; et surtout créer des opportunités professionnelles locales significatives grâce aux investissements réalisés.
Agus insiste sur l’importance cruciale du nombre emplois créés grâce aux initiatives financières proposées par Apple tout en affirmant qu’il n’y aura pas deadline imposée quant au moment où ces investissements devront être réalisés : « Nous ne fixons pas un calendrier précis; nous pouvons conclure aujourd’hui ou demain… L’essentiel est la substance même des investissements », conclut-il.
Conclusion: Un Avenir Prometteur?
Nick Ammann s’est exprimé après sa rencontre avec les ministres indonésiens indiquant avoir eu « une excellente discussion ». À ce jour, bien qu’Apple ne dispose pas encore d’usines manufacturières sur place depuis son arrivée sur le marché indonésien – où elle gère depuis plusieurs années des académies dédiées au développement applicatif – cet engagement marque potentiellement un tournant significatif vers une présence industrielle accrue dans ce pays dynamique.
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