La controverse entourant la médaille de bronze de Jordan Chiles a suscité un large soutien, non seulement de la part des fans de gymnastique aux États-Unis, mais aussi de célébrités et de ses coéquipières, Simone Biles et Sunisa Lee. Flava Flav a récemment exprimé son soutien, offrant un cadeau unique en attendant le résultat de l’appel.
Après avoir appris que la médaille de Chiles pourrait lui être retirée, le rappeur de Long Island a pris la parole sur X pour faire une annonce spéciale. « Ayyy YOOOO @ChilesJordan, je vais te faire un COLLIER EN FORME D’HEURE BRONZE, » a-t-il écrit. « Et ça, c’est quelque chose que PERSONNE d’autre n’a,!!! Contacte-moi ma fille,,, je suis là pour toi,!!! » Il a également partagé un gif de lui, vêtu de rouge, blanc et bleu, encourageant l’équipe américaine depuis les gradins.
Jordan Chiles a obtenu sa place sur le podium le lundi 5 août, après que son entraîneur a déposé une demande de révision de son score au sol. Son score initial de 13.666 l’avait placée cinquième, mais après la révision, il a été porté à 13.766, lui permettant de se hisser à la troisième place. Cependant, la Fédération roumaine de gymnastique a déposé une plainte auprès du Tribunal arbitral du sport, affirmant que la demande de Chiles avait été faite après le délai d’une minute. Cela pourrait entraîner le retrait de sa médaille de bronze.
Malgré cela, l’équipe de gymnastique des États-Unis ne compte pas abandonner facilement. Le 11 août, ils ont fait appel de la décision en soumettant des preuves vidéo montrant que la demande de révision de l’entraîneur Cecile Landi avait été faite dans les 47 secondes suivant la publication du score de Chiles. À l’heure actuelle, aucune décision n’a été rendue concernant cet appel.
Flava Flav a fait preuve d’une générosité constante tout au long des Jeux Olympiques de Paris 2024, en payant également le loyer de l’athlète Veronica Fraley et en sponsorisant l’équipe féminine de water-polo des États-Unis.
Il a précédemment déclaré à NPR à propos de cette dernière initiative : « Et quand les femmes ne sont pas dans l’eau à jouer au water-polo, elles travaillent à des emplois actifs – un, deux ou trois emplois. Ces filles se donnent à fond pour faire briller les États-Unis. Donc, quand elles s’entraînent, cela les éloigne de leur travail. Je me suis dit, pourquoi ne pas intervenir et essayer d’aider ces filles? »