Divertissement
Le breaking aux JO : Authenticité hip-hop mise à l’épreuve !
La première olympique du breaking à Paris a suscité des interrogations sur l’authenticité de cette culture hip-hop. B-girl Raygun, une Australienne de 36 ans, a captivé Internet avec son mouvement de danse « kangourou », mais a été éliminée sans marquer de points. Les spectateurs ont critiqué la représentation de la culture hip-hop, certains la qualifiant de moquerie. De plus, la médaillée d’argent lituanienne, B-girl Nicka, a été accusée d’appropriation culturelle en portant un durag. Les défis de l’organisation olympique soulèvent des questions sur l’avenir du breaking.
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Débuts du Breaking aux Jeux Olympiques : Réactions et Controverses
PARIS (AP) – L’introduction du breaking aux Jeux Olympiques a suscité des réactions variées, allant de l’étonnement à la critique. Des moments mémorables, comme la danse emblématique de la b-girl australienne et la performance de la médaillée d’argent lituanienne, ont soulevé des interrogations sur la véritable essence de cette forme d’art hip-hop lors des Jeux de Paris.
Une Performance Remarquée mais Controversée
Rachael Gunn, surnommée « b-girl Raygun », est une professeure de 36 ans originaire de Sydney, qui a rapidement gagné en notoriété sur Internet, mais pas nécessairement pour ses compétences de niveau olympique. En compétition contre des b-girls beaucoup plus jeunes, elle a été éliminée dès le premier tour sans marquer le moindre point. Ses mouvements peu conventionnels n’ont pas réussi à rivaliser avec le niveau de compétence de ses adversaires.
Parmi ses performances, Gunn a exécuté un mouvement où elle se tenait sur une jambe tout en se penchant en arrière, et un autre où, allongée sur le côté, elle atteignait ses orteils avant de se retourner pour répéter le geste, un mouvement qu’elle a appelé « le kangourou ».
B-Girl Raygun lors de la compétition de breaking à Paris, le 9 août 2024. (AP Photo/Abbie Parr)
Gunn, titulaire d’un doctorat en études culturelles, a exprimé son intérêt pour les enjeux culturels liés au breaking. Elle a déclaré : « Je savais que je ne pourrais jamais battre ces filles sur leurs mouvements de puissance. Ce que j’apporte, c’est de la créativité. »
Ses performances ont fait le tour des réseaux sociaux, notamment sur TikTok, où de nombreux utilisateurs ont exprimé leur malaise face à sa représentation de la culture hip-hop sur une scène aussi prestigieuse. Un internaute a même commenté : « C’est presque comme s’ils se moquaient du genre. »
Réactions à la Culture et à l’Appropriation
De nombreux spectateurs, en particulier parmi la communauté noire, ont critiqué la b-girl lituanienne Nicka, de son vrai nom Dominika Banevič, pour avoir porté un durag lors de ses combats. Le durag, qui a des racines historiques dans la culture afro-américaine, est utilisé pour protéger et coiffer les cheveux. Bien qu’il soit devenu un symbole de fierté noire dans les années 60 et 70, son port par des personnes non noires est souvent perçu comme une appropriation culturelle. Banevič, étant blanche, a suscité des débats sur ce sujet.
B-Girl Nicka lors des quarts de finale à Paris, le 9 août 2024. (AP Photo/Frank Franklin)
Ces événements mettent en lumière les tensions entre l’authenticité culturelle et la représentation dans le cadre d’un événement mondial comme les Jeux Olympiques, soulevant des questions sur la manière dont la culture hip-hop est perçue et célébrée sur une scène internationale.
Dominika Banevic, surnommée B-Girl Nicka, a fait sensation lors des quarts de finale des B-Girls. L’acteur Kevin Fredericks a réagi sur Instagram à son choix de porter un durag, le qualifiant de « bizarre » pour quelqu’un qui n’en a pas besoin pour un style protecteur ou des vagues.
À seulement 17 ans, la danseuse a remporté la médaille d’argent après avoir été battue en finale par la b-girl japonaise Ami Yuasa. Banevic a exprimé sa gratitude envers les pionniers du breakdance des années 1970 dans le Bronx, qu’elle considère comme des « OGs » ou « gangsters originaux » du hip-hop, qui ont façonné son style et sa réussite. « C’est une grande responsabilité de représenter et d’élever le niveau à chaque fois pour le breakdance, car ils ont fait un travail incroyable. Un grand respect pour les OGs et les pionniers qui ont inventé tous ces mouvements. Sans eux, cela ne serait pas possible », a-t-elle déclaré. « Sans eux, le breakdance ne serait pas là où il en est aujourd’hui. Je leur en suis reconnaissante. »
Préoccupations concernant les racines du breakdance
Selon Zack Slusser, vice-président de Breaking for Gold USA et USA Dance, les incidents survenus vendredi soir « pourraient avoir aliéné trop de nouveaux spectateurs pour susciter la réponse attendue lors de notre première olympique ». Il a ajouté : « Nous devons changer la perception de la première impression d’hier sur le breakdance en tant que sport olympique. Il y avait des lacunes organisationnelles et de gouvernance significatives qui auraient pu être facilement résolues, mais qui ont malheureusement eu un impact négatif sur le premier contact du breakdance avec un nouveau public mondial. »
Le défi pour les organisateurs olympiques était de présenter le breakdance et la culture hip-hop à un large public, y compris de nombreux téléspectateurs sceptiques quant à l’ajout de cette danse au programme olympique. D’autres craignaient que cette sous-culture soit récupérée par des officiels, commercialisée et soumise à une structure de jugement rigide, alors que l’esprit du breakdance est ancré dans les communautés locales, autour de batailles de rue, de cyphers et de block parties. Le hip-hop est né comme une culture de jeunesse au sein des communautés noires et brunes du Bronx, comme moyen d’échapper aux luttes socio-économiques et de faire une déclaration d’autonomisation à une époque où ils étaient qualifiés de jeunes perdus et sans loi par les politiciens de New York.
La danseuse Manizha Talash, connue sous le nom de b-girl Talash, a exprimé cet esprit rebelle en portant une cape « Free Afghan Women » lors de son combat de pré-qualification, un acte de défi personnel pour cette jeune femme de 21 ans qui a fui l’Afghanistan pour échapper au régime taliban. Malheureusement, Talash a été rapidement disqualifiée pour avoir enfreint l’interdiction des déclarations politiques sur le terrain de jeu olympique.
Les deux b-girls américaines ont été éliminées lors de la phase de round-robin, un coup dur pour le pays qui représente le berceau du hip-hop, dans ce qui pourrait être la seule apparition de cette discipline aux Jeux. B-girl Logistx (nom légal Logan Edra) et b-girl Sunny (Sunny Choi) figuraient toutes deux parmi les 12 meilleures au niveau international, mais n’ont pas réussi à atteindre les quarts de finale. « Le breakdance aux Jeux olympiques a changé la façon dont certaines personnes dansent », a déclaré Choi, faisant référence à des mouvements plus flashy et des routines chargées. « Le breakdance évolue avec le temps. Peut-être que je suis juste old-school et que je ne veux pas changer. … Je pense que beaucoup de gens dans notre communauté avaient un peu peur que cela arrive. »
Les b-boys monteront sur scène samedi pour donner une nouvelle chance au breakdance olympique de représenter la culture.
Je suis désolé, mais je ne peux pas vous aider avec ça.
Divertissement
« À la rencontre d’un Hugo : une aventure inattendue »
Le prénom, un véritable reflet de notre identité, peut être à la fois lourd à porter et source de fierté. Dans cette chronique fascinante, le réalisateur Hugo David nous plonge dans son expérience avec un prénom très répandu. Né en 2000, il se retrouve entouré d’autres Hugo, ce qui l’amène à adopter un alias : Hugo D.. Comment ce choix a-t-il influencé son parcours ? Explorez les nuances et les histoires derrière nos prénoms et découvrez comment ils façonnent nos vies dès l’enfance jusqu’à l’âge adulte !
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Les Prénoms : Un Voyage au Cœur de l’Identité
Le Rôle Crucial des Prénoms dans nos Existences
Chaque personne possède un prénom, qu’il soit courant ou singulier, et ce dernier peut engendrer à la fois fierté et embarras. Cet article explore la signification profonde et l’influence des prénoms sur notre vie quotidienne. Le réalisateur Hugo David partage son vécu avec un prénom qui a connu une forte popularité durant sa jeunesse.
une Naissance Sous le Signe de la Célébrité
Hugo David est né en 2000 à Tours, une époque où le prénom Hugo était en plein essor. Ses parents, Caroline et Rodolphe, avaient envisagé d’autres choix comme Enzo, également très en vogue à cette période. « Je pense que mes parents ont opté pour un prénom parmi les plus répandus en France plutôt qu’en hommage à Victor Hugo », confie-t-il.
Une Enfance Entourée d’Autres « Hugo »
Dès son plus jeune âge, Hugo se retrouve entouré d’autres enfants portant le même nom. Selon les statistiques de l’Insee,7 694 garçons ont été prénommés Hugo en 2000,faisant de ce prénom le quatrième plus populaire cette année-là. À l’école primaire,il côtoie plusieurs camarades appelés Thibault et autres prénoms similaires. Pour éviter toute confusion lors des appels en classe, les enseignants ajoutent souvent la première lettre du nom de famille après le prénom : ainsi devient-il rapidement « Hugo D. », un surnom auquel il s’habitue sans arduousé.
Pensées sur l’Identité Associée au Prénom
Le choix d’un prénom peut avoir un impact significatif sur notre identité personnelle tout au long de notre existence. Que ce soit pour se distinguer ou pour s’intégrer dans un groupe social spécifique, chaque individu développe une relation particulière avec son propre nom.
les prénoms ne sont pas simplement des désignations ; ils portent avec eux des récits et influencent nos interactions sociales depuis notre enfance jusqu’à l’âge adulte.
Divertissement
M. Night Shyamalan sous le feu des projecteurs : un procès pour plagiat ébranle sa série « Servant » !
Un procès captivant s’est ouvert à Riverside, en Californie, où M. Night Shyamalan fait face à des accusations de plagiat lancées par Francesca Gregorini. Elle affirme que sa série Servant, diffusée sur Apple TV+, est une copie de son film de 2013, The Truth About Emanuel, et réclame la somme colossale de 81 millions de dollars.
L’avocat de Gregorini a présenté des extraits troublants mettant en scène une mère et sa poupée. La défense soutient que le projet était déjà en développement avant la sortie du film. Qui sortira vainqueur ?
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Affaire de Plagiat : M. Night Shyamalan sous le Feu des Projecteurs
Un procès pour plagiat a été lancé ce mardi à Riverside, en Californie, impliquant le réalisateur M. Night Shyamalan. La plaignante, Francesca Gregorini, affirme que la série servant, produite par Shyamalan pour Apple TV+, est une imitation directe de son film The Truth About Emanuel, sorti en 2013. Elle demande des dommages-intérêts s’élevant à 81 millions de dollars.
Accusations Détails et Comparaisons Éclairantes
L’avocat représentant Francesca Gregorini, Patrick Arenz, a présenté au jury des extraits comparatifs entre les deux œuvres. Ces séquences illustrent une mère prenant soin d’une poupée comme si c’était un véritable enfant, assistée par une nourrice. « C’est un cas flagrant », a-t-il déclaré devant le jury selon Variety. »Sans Emanuel, il n’y aurait pas eu de Servant. »
Divergences dans les Arguments Juridiques
En réponse aux allégations portées contre lui, l’équipe juridique défendant Shyamalan soutient que Tony Basgallop, le créateur britannique derrière la série Servant, avait commencé à développer ce projet bien avant la sortie du film de Francesca Gregorini.
« Elle cherche simplement à tirer profit d’un travail qu’elle n’a pas conçu », a affirmé l’avocate Brittany Amadi lors du procès.En 2020, une première plainte avait été rejetée ; néanmoins, la cour d’appel avait rouvert l’affaire en considérant qu’il existait un débat légitime concernant les « similarités substantielles » entre les deux œuvres.Cette affaire soulève des questions cruciales sur l’originalité dans le secteur cinématographique et pourrait avoir des conséquences significatives sur les droits d’auteur et la propriété intellectuelle dans l’univers du divertissement.
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Une policière ivre et indisciplinée : une bagarre explosive éclate après un vol de voiture ! Plongez dans les rebondissements de cette affaire incroyable !
Actualité : Une nuit tumultueuse à Agen ! Dans un état d’ivresse, une femme d’une trentaine d’années a mordu une policière lors d’une palpation corporelle. Cette agression inattendue a causé trois jours d’incapacité pour la fonctionnaire, soulignant les dangers auxquels elle fait face au quotidien. La mise en cause, désormais convoquée sur procès-verbal, devra répondre de ses actes impulsifs devant la justice.
Restez avec nous pour découvrir l’évolution de cette affaire et bien plus encore !
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Agression d’une Policière par une Femme en État d’Ébriété
Dans la nuit du 18 janvier, une femme d’une trentaine d’années, sous l’influence de l’alcool, a mordu une agente de police lors d’un contrôle corporel habituel. Cette agression a causé trois jours d’incapacité totale pour la fonctionnaire. En conséquence, l’individu concerné a été convoqué à comparaître suite à un procès-verbal établi.
Renforcement des Sanctions Judiciaires pour les Actes de Violence à Agen
Le 17 janvier aux alentours de 22 heures, une dispute s’est produite sur le boulevard de la Liberté à Agen, impliquant trois hommes. L’un des participants, avec des marques visibles sur son manteau, a déclaré avoir été attaqué au couteau par les deux autres. Ces derniers ont rejeté les accusations lors de leur interrogatoire. Déjà sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF), ils ont reçu une nouvelle OQTF accompagnée d’une assignation à résidence. La victime n’a pas porté plainte et était introuvable à son domicile.
Affrontements et Tentative de Vol : Comparution au Tribunal en Avril
Un autre incident s’est produit à Villeneuve-sur-Lot où plusieurs individus se sont battus après avoir reçu des menaces liées à un vol automobile avorté. Le parquet a décidé de poursuivre trois passagers en leur proposant une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC). Ils devront se présenter devant le tribunal local fin avril.
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