Divertissement
Habitudes d’achat : Les collations se réinventent !
La consommation de collations est devenue une habitude incontournable pour plus de 80 % des consommateurs au Royaume-Uni, en Allemagne et aux États-Unis. Avec l’évolution des préférences, l’industrie des snacks s’est métamorphosée, offrant des options allant des douceurs nostalgiques aux en-cas sains et énergisants. Les consommateurs recherchent désormais des collations qui allient plaisir et bien-être, et cette tendance ne cesse de croître. Préparez-vous à découvrir un monde de saveurs innovantes et de bienfaits nutritionnels!
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La consommation de collations entre les repas est devenue une habitude pour de nombreux consommateurs. D’après une étude de Mintel, plus de 80 % des consommateurs au Royaume-Uni, en Allemagne et aux États-Unis grignotent régulièrement, avec plus de 90 % des Américains consommant entre une et trois collations par jour.
L’industrie des collations a évolué pour répondre aux besoins changeants des amateurs de grignotage, en proposant une large gamme d’options allant des friandises nostalgiques aux choix pratiques, axés sur la santé, avec des ingrédients exotiques et des options énergisantes pour le cerveau.
L’évolution des collations
L’obsession pour les collations a commencé dans les années 1950 et 1960, avec l’apparition de collations emballées et pratiques, comme les chips de pommes de terre, les bretzels et les barres chocolatées.
Les années 1970 ont vu l’émergence de collations prêtes à consommer, comme le pop-corn, tandis que les barres de granola sont devenues populaires parmi les consommateurs soucieux de leur santé.
Dans les économies occidentales, le marché des collations a explosé dans les années 1980, avec des chips de pommes de terre aromatisées, des mélanges de collations salées et des friandises emballées individuellement.
Les années 1990 ont marqué l’arrivée d’options à faible teneur en matières grasses, comme les crackers et les collations à base de fruits, tandis que les magasins de proximité ont facilité la culture du « grab-and-go ».
Les années 2000 ont vu une tendance vers des collations plus saines, mettant l’accent sur des variations biologiques, naturelles et à grains entiers, sans additifs ni conservateurs artificiels. Les collations autrefois considérées comme des plaisirs coupables ont été réinventées pour offrir une valeur nutritionnelle accrue, avec l’émergence de collations fonctionnelles telles que les barres protéinées, les yaourts probiotiques et les en-cas enrichis en vitamines et minéraux.
Un rapport de 2024 d’Innova a révélé que 60 % des consommateurs mondiaux affirment consommer des collations plus saines au moins une fois par jour. De plus, une enquête récente du Harman Group indique que 59 % des consommateurs recherchent plus souvent des options à faible teneur en sucre, tandis que 42 % estiment que la protéine justifie leur habitude de grignoter.
Cette réponse des producteurs est évidente, le marché des collations saines ayant atteint une valeur de 90,62 milliards de dollars en 2022.
La quête de la commodité
Avec l’augmentation de l’utilisation d’emballages biodégradables, compostables et recyclables, la demande de commodité a favorisé la popularité des emballages en portions individuelles, idéaux pour les professionnels pressés, les étudiants et les parents. La commodité est un moteur essentiel du secteur des collations, car, selon l’indice des collations de Frito-Lay aux États-Unis, la population consacre de moins en moins de temps à se restaurer. En effet, l’indice a révélé que l’Américain moyen ne consacre que 52 minutes par jour à la préparation et à la consommation de repas.
Nous intégrons également nos collations préférées dans nos repas, une tendance en hausse de 35 % par rapport aux années précédentes, surtout parmi les Millennials et les générations plus jeunes. Ces consommateurs ingénieux, dont 55 % s’inspirent de ce qu’ils ont déjà dans leur garde-manger, exploitent également les réseaux sociaux pour trouver des idées. Les vidéos montrant comment incorporer des collations dans des recettes sont devenues particulièrement populaires.
La pandémie a accéléré le passage aux achats en ligne, rendant plus facile que jamais pour les consommateurs de commander depuis chez eux ou via des services d’abonnement, où les produits sont adaptés à des besoins et préférences alimentaires spécifiques.
Nous entrons également dans une ère où le bien-être mental et émotionnel est davantage pris en compte. Malgré cette attention accrue à la santé, les collations indulgentes restent les plus vendues. Le rapport d’Innova a révélé qu’un consommateur américain sur cinq affirme avoir augmenté sa consommation de collations gourmandes au cours des 12 derniers mois.
Opportunités face à l’inflation
Les années post-pandémiques, marquées par l’inflation, ont considérablement réduit le revenu disponible, et avec moins de sorties pour manger, les fabricants de collations ont saisi l’occasion d’offrir des expériences culinaires à domicile.
Le monde se rétrécit, et les saveurs traditionnelles provenant de régions comme l’Amérique latine, l’Asie et le Moyen-Orient dynamisent le secteur.
David Walsh, vice-président des communications de SNAC International, a déclaré à Bakery & Snacks que les saveurs épicées sont très en vogue, notamment différents types de piments comme le habanero et le ghost pepper, ainsi que des produits comme le « Blue Heat » de Takis et le chipotle adobo, souvent associés à des fromages artisanaux.
Un autre effet secondaire de la crise du coût de la vie, observé par SNAC International, est que les consommateurs, au lieu de manger à l’extérieur, achètent de plus en plus de collations à consommer pendant leurs trajets ou leurs activités en dehors de chez eux.
Walsh a ajouté que les partenaires de Circana constatent que les consommateurs à revenu élevé se tournent vers les services alimentaires et les restaurants à service rapide, tandis que ceux à revenu plus faible privilégient les magasins de proximité, les magasins à un dollar et les supermarchés.
Alors que les préférences des consommateurs continuent d’évoluer, l’industrie des collations se positionne sans aucun doute comme un leader en matière d’innovation, cherchant à offrir des produits qui non seulement satisfont la faim, mais répondent également à des demandes spécifiques.
Parmi les dernières innovations, Walsh mentionne des collations promettant de fournir une « énergie intelligente », contenant des nootropiques comme la théanine pour améliorer les performances mentales, des adaptogènes d’origine végétale pour aider à gérer le stress et la fatigue, ainsi que des électrolytes pour diverses fonctions corporelles.
Il a également noté de nouveaux produits utilisant des variétés d’edamame et des champignons pour la santé immunitaire et intestinale, ainsi que des antioxydants, en plus d’innovations ciblant les besoins d’athlètes spécifiques, comme des barres à base de noix de cajou pour soulager les douleurs musculaires.
Cette tendance devrait se poursuivre.
Toujours aussi flexible, l’industrie des collations s’adapte au changement et se prépare à une nouvelle ère de grignotage, que ce soit par l’utilisation d’ingrédients fonctionnels, de pratiques durables ou de technologies de pointe.
Cette dynamique devrait conduire à un secteur dynamique, dont la valeur devrait croître de 28 % par an, doublant ainsi sa valeur, passant de 256,26 milliards de dollars en 2023 à 559,26 milliards de dollars d’ici 2028, selon les données de FMCG Guru.
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« À la rencontre d’un Hugo : une aventure inattendue »
Le prénom, un véritable reflet de notre identité, peut être à la fois lourd à porter et source de fierté. Dans cette chronique fascinante, le réalisateur Hugo David nous plonge dans son expérience avec un prénom très répandu. Né en 2000, il se retrouve entouré d’autres Hugo, ce qui l’amène à adopter un alias : Hugo D.. Comment ce choix a-t-il influencé son parcours ? Explorez les nuances et les histoires derrière nos prénoms et découvrez comment ils façonnent nos vies dès l’enfance jusqu’à l’âge adulte !
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Les Prénoms : Un Voyage au Cœur de l’Identité
Le Rôle Crucial des Prénoms dans nos Existences
Chaque personne possède un prénom, qu’il soit courant ou singulier, et ce dernier peut engendrer à la fois fierté et embarras. Cet article explore la signification profonde et l’influence des prénoms sur notre vie quotidienne. Le réalisateur Hugo David partage son vécu avec un prénom qui a connu une forte popularité durant sa jeunesse.
une Naissance Sous le Signe de la Célébrité
Hugo David est né en 2000 à Tours, une époque où le prénom Hugo était en plein essor. Ses parents, Caroline et Rodolphe, avaient envisagé d’autres choix comme Enzo, également très en vogue à cette période. « Je pense que mes parents ont opté pour un prénom parmi les plus répandus en France plutôt qu’en hommage à Victor Hugo », confie-t-il.
Une Enfance Entourée d’Autres « Hugo »
Dès son plus jeune âge, Hugo se retrouve entouré d’autres enfants portant le même nom. Selon les statistiques de l’Insee,7 694 garçons ont été prénommés Hugo en 2000,faisant de ce prénom le quatrième plus populaire cette année-là. À l’école primaire,il côtoie plusieurs camarades appelés Thibault et autres prénoms similaires. Pour éviter toute confusion lors des appels en classe, les enseignants ajoutent souvent la première lettre du nom de famille après le prénom : ainsi devient-il rapidement « Hugo D. », un surnom auquel il s’habitue sans arduousé.
Pensées sur l’Identité Associée au Prénom
Le choix d’un prénom peut avoir un impact significatif sur notre identité personnelle tout au long de notre existence. Que ce soit pour se distinguer ou pour s’intégrer dans un groupe social spécifique, chaque individu développe une relation particulière avec son propre nom.
les prénoms ne sont pas simplement des désignations ; ils portent avec eux des récits et influencent nos interactions sociales depuis notre enfance jusqu’à l’âge adulte.
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M. Night Shyamalan sous le feu des projecteurs : un procès pour plagiat ébranle sa série « Servant » !
Un procès captivant s’est ouvert à Riverside, en Californie, où M. Night Shyamalan fait face à des accusations de plagiat lancées par Francesca Gregorini. Elle affirme que sa série Servant, diffusée sur Apple TV+, est une copie de son film de 2013, The Truth About Emanuel, et réclame la somme colossale de 81 millions de dollars.
L’avocat de Gregorini a présenté des extraits troublants mettant en scène une mère et sa poupée. La défense soutient que le projet était déjà en développement avant la sortie du film. Qui sortira vainqueur ?
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Affaire de Plagiat : M. Night Shyamalan sous le Feu des Projecteurs
Un procès pour plagiat a été lancé ce mardi à Riverside, en Californie, impliquant le réalisateur M. Night Shyamalan. La plaignante, Francesca Gregorini, affirme que la série servant, produite par Shyamalan pour Apple TV+, est une imitation directe de son film The Truth About Emanuel, sorti en 2013. Elle demande des dommages-intérêts s’élevant à 81 millions de dollars.
Accusations Détails et Comparaisons Éclairantes
L’avocat représentant Francesca Gregorini, Patrick Arenz, a présenté au jury des extraits comparatifs entre les deux œuvres. Ces séquences illustrent une mère prenant soin d’une poupée comme si c’était un véritable enfant, assistée par une nourrice. « C’est un cas flagrant », a-t-il déclaré devant le jury selon Variety. »Sans Emanuel, il n’y aurait pas eu de Servant. »
Divergences dans les Arguments Juridiques
En réponse aux allégations portées contre lui, l’équipe juridique défendant Shyamalan soutient que Tony Basgallop, le créateur britannique derrière la série Servant, avait commencé à développer ce projet bien avant la sortie du film de Francesca Gregorini.
« Elle cherche simplement à tirer profit d’un travail qu’elle n’a pas conçu », a affirmé l’avocate Brittany Amadi lors du procès.En 2020, une première plainte avait été rejetée ; néanmoins, la cour d’appel avait rouvert l’affaire en considérant qu’il existait un débat légitime concernant les « similarités substantielles » entre les deux œuvres.Cette affaire soulève des questions cruciales sur l’originalité dans le secteur cinématographique et pourrait avoir des conséquences significatives sur les droits d’auteur et la propriété intellectuelle dans l’univers du divertissement.
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Une policière ivre et indisciplinée : une bagarre explosive éclate après un vol de voiture ! Plongez dans les rebondissements de cette affaire incroyable !
Actualité : Une nuit tumultueuse à Agen ! Dans un état d’ivresse, une femme d’une trentaine d’années a mordu une policière lors d’une palpation corporelle. Cette agression inattendue a causé trois jours d’incapacité pour la fonctionnaire, soulignant les dangers auxquels elle fait face au quotidien. La mise en cause, désormais convoquée sur procès-verbal, devra répondre de ses actes impulsifs devant la justice.
Restez avec nous pour découvrir l’évolution de cette affaire et bien plus encore !
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Agression d’une Policière par une Femme en État d’Ébriété
Dans la nuit du 18 janvier, une femme d’une trentaine d’années, sous l’influence de l’alcool, a mordu une agente de police lors d’un contrôle corporel habituel. Cette agression a causé trois jours d’incapacité totale pour la fonctionnaire. En conséquence, l’individu concerné a été convoqué à comparaître suite à un procès-verbal établi.
Renforcement des Sanctions Judiciaires pour les Actes de Violence à Agen
Le 17 janvier aux alentours de 22 heures, une dispute s’est produite sur le boulevard de la Liberté à Agen, impliquant trois hommes. L’un des participants, avec des marques visibles sur son manteau, a déclaré avoir été attaqué au couteau par les deux autres. Ces derniers ont rejeté les accusations lors de leur interrogatoire. Déjà sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF), ils ont reçu une nouvelle OQTF accompagnée d’une assignation à résidence. La victime n’a pas porté plainte et était introuvable à son domicile.
Affrontements et Tentative de Vol : Comparution au Tribunal en Avril
Un autre incident s’est produit à Villeneuve-sur-Lot où plusieurs individus se sont battus après avoir reçu des menaces liées à un vol automobile avorté. Le parquet a décidé de poursuivre trois passagers en leur proposant une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC). Ils devront se présenter devant le tribunal local fin avril.
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