Divertissement
‘Le Brutaliste’ : L’épopée en 70mm de Brady Corbet, un édifice fascinant et imparfait sur les possibilités pratiques du cinéma – Festival du Film de Venise
Dans « The Brutalist », Brady Corbet nous plonge dans une odyssée artistique captivante du 20ème siècle. Malgré sa durée impressionnante de 3 heures et 35 minutes, le film révèle une intimité surprenante. Suivez László Roth, interprété par Adrien Brody, alors qu’il navigue entre l’espoir et la désillusion après la Seconde Guerre mondiale. De Budapest à New York, son parcours est un mélange de chaos et d’imagination, où chaque rencontre façonne son destin. N’attendez plus pour découvrir cette œuvre fascinante!
Divers
Brady Corbet nous entraîne dans une exploration artistique du 20ème siècle avec son film, qui, sur le papier, semble être une épopée s’étalant sur plusieurs décennies. Pourtant, malgré sa durée impressionnante de 3 heures et 35 minutes — incluant un entracte de 15 minutes — The Brutalist se révèle étonnamment intime. Le format 70mm utilisé par Corbet, en collaboration avec son fidèle directeur de la photographie Lol Crawley, ne cherche pas à rivaliser avec les grandes fresques d’un Lean ou d’un Kubrick ; il propose plutôt une approche qui suggère l’échelle tout en restant centrée sur l’individu. C’est l’histoire d’un homme aux ambitions démesurées racontée par un réalisateur dont la vision dépasse les limites souvent modestes du cinéma indépendant américain. Bien que le film n’atteigne pas toujours ses objectifs ambitieux, il réussit à créer une atmosphère singulière et déborde souvent d’creativity.
S’inspirant de lars Von Trier — pour qui il a joué dans Melancholia — Brady Corbet (avec sa co-scénariste Mona Fastvold) divise son œuvre en quatre parties distinctes. La première section est intitulée « L’Ouverture ». Tout commence dans le chaos alors que László Roth (Adrien Brody) quitte la Hongrie pour rejoindre les États-Unis à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Son périple est présenté sous forme d’un montage dynamique réalisé caméra à l’épaule,accompagné des voix off de sa femme Erzsébeth (Felicity Jones),dont il a été séparé contre son gré. Elle cite Goethe, ce qui prendra tout son sens dans la seconde moitié du film ; László s’accroche à l’espoir qu’ils seront réunis.
Étonnamment, peu de scènes montrent réellement la vie antérieure de László ; rapidement après avoir vu une Statue de la Liberté inversée signalant leur arrivée à New York, on le retrouve en train de passer par l’immigration à Ellis Island. À Manhattan, László se laisse emporter et rejoint son ami Attila (Alessandro Nivola) dans un bordel où on lui propose : « Nous avons des garçons si cela vous intéresse », une phrase qui prendra également un sens intrigant plus tard.
La première partie intitulée « L’Énigme de l’Arrivée : 1947-52 » suit László alors qu’il se rend en pennsylvanie pour retrouver Attila qui y tient un magasin de meubles sous le nom Miller (« Ici les gens aiment les affaires familiales »). Les produits qu’ils vendent sont déjà dépassés et ils en ont conscience : « ce n’est pas très beau », admet László ; ce à quoi Attila répond : « C’est pourquoi tu es là pour ça. » Ainsi commence leur aventure au cœur du boom mobilier post-guerre.
László s’installe dans un espace d’entreposage et voit sa vie prendre un tournant inattendu lorsqu’un client significant nommé Harry Van Buren (Joe Alwyn) entre dans leur magasin. Son père riche homme d’affaires Harrison Lee Van Buren étant absent, Harry souhaite lui faire surprise avec une nouvelle bibliothèque (« Restez sous $1 000 »). C’est ici que nous découvrons que László était architecte agréé à Budapest et possède toutes les compétences nécessaires pour réaliser ce projet.
À son retour chez lui après cette commande initiale (interprété brillamment par Guy Pearce), Van Buren senior est horrifié par leurs conceptions modernes et expulse brutalement László et Attila tout en hurlant : « Vous avez tout retourné ! » Harry refuse ensuite de payer leurs services tandis qu’attila accuse faussement László d’avoir flirté avec sa femme avant finalement de le renvoyer. Il finit alors par travailler manuellement jusqu’à ce que van Buren apparaisse là où il travaille maintenant; comme beaucoup parmi les nouveaux riches américains , van Buren semble croire aveuglément aux éloges faits autour de lui lorsque des magazines sociaux présentent sa nouvelle bibliothèque sous le titre accrocheur: “UN MILLIONNAIRE PARMI SES MODERNES.”
Van buren décide finalement d’aider financièrement László afin qu’il réalise son rêve architectural : construire un center communautaire appelé L’Institut, dédié à sa défunte épouse Margaret. Ce bâtiment doit être conçu comme un espace multi-religieux – défi difficile pour les principes puristes architecturaux auxquels adhère fermement Lászlo – mais celui-ci accepte néanmoins cette mission tout en ressentant déjà des tensions face aux tentatives constantes du financier visant limiter ses aspirations créatives.
Cette première moitié est étonnamment légère – presque comme si c’était simplement une comédie sociale – mais elle devient beaucoup plus sombre lors des développements ultérieurs sans vraiment élargir ses horizons narratifs; car pour ceux habitués au cinéma indépendant arthouse , trois heures quinze minutes ne représentent rien comparativement aux standards habituels .Intitulée “le Coeur même De La Beauté:1955-60”, cette seconde partie voit Erzsébeth rejoindre enfin son mari ainsi que leur nièce Zsófía (Raffey Cassidy) au domicile des Van Buren.Malheureusement ,Erzsébeth apparaît quelque peu désenchantée face au faux-semblants ambiants; bien qu’elle ne prononce jamais ces mots exacts ,la célèbre citation goethienne doit résonner fortement chez elle alors qu’elle observe comment on exploite sans scrupules celui qu’elle aime: “Nul n’est plus désespérément asservi que ceux qui croient faussement être libres.”
Les événements prennent rapidement tournure vers quelque chose non seulement sombre mais aussi totalement imprévisible lorsque Erzsébeth confronte brutalement toute la famille Van Buren avec révélations fracassantes inattendues . Bien que Guy Pearce soit exceptionnellement bon dans ce rôle complexe ,le départ soudain du personnage crée inévitablement quelques perturbations narratives regrettables . De plus ,il convient également noter ici combien certains éléments narratifs cruciaux sont relégués vers l’épilogue final où nous apprenons davantage sur Les expériences vécues ensemble durant Dachau ainsi que sur leurs amours respectives .
Tout comme notre protagoniste principal,Lászlo,Cobet exprime donc clairement ses propres perceptions artistiques via cet opus audacieux ayant indéniablement conservé certaines thématiques présentes précédemment explorées notamment lors films tels Childhood of a Leader ou encore Vox Lux. Cependant,The Brutalist semble moins abouti comparativement bien qu’il conserve néanmoins cet aspect fascinant propre aux œuvres passées.Cela dit,cette œuvre visuelle arbore aussi fièrement cet aspect européen rappelant fortement celle réalisée récemment par réalisateur hongrois Laszlo Nemes (Sunset) tantôt célébration pratique possible offerte grâce au septième art tantôt hommage poignant rendu envers Scott Walker disparu trop tôt.Dieu sait quel chef-d’œuvre musical aurait pu naître grâce lui!
Titre: The Brutalist
Festival: Venise (Compétition)
Distributeur: Focus Features
Réalisateur: Brady Corbet
Scénaristes: Brady Corbet & Mona Fastvold
Distribution: Adrien Brody,Felicity Jones,Guy Pearce,Joe alwyn,Raffey Cassidy stacy Martin Emma Laid Isaach De Bankolé Alessandro Nivola
Durée: 3h35
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« À la rencontre d’un Hugo : une aventure inattendue »
Le prénom, un véritable reflet de notre identité, peut être à la fois lourd à porter et source de fierté. Dans cette chronique fascinante, le réalisateur Hugo David nous plonge dans son expérience avec un prénom très répandu. Né en 2000, il se retrouve entouré d’autres Hugo, ce qui l’amène à adopter un alias : Hugo D.. Comment ce choix a-t-il influencé son parcours ? Explorez les nuances et les histoires derrière nos prénoms et découvrez comment ils façonnent nos vies dès l’enfance jusqu’à l’âge adulte !
Les Prénoms : Un Voyage au Cœur de l’Identité
Le Rôle Crucial des Prénoms dans nos Existences
Chaque personne possède un prénom, qu’il soit courant ou singulier, et ce dernier peut engendrer à la fois fierté et embarras. Cet article explore la signification profonde et l’influence des prénoms sur notre vie quotidienne. Le réalisateur Hugo David partage son vécu avec un prénom qui a connu une forte popularité durant sa jeunesse.
une Naissance Sous le Signe de la Célébrité
Hugo David est né en 2000 à Tours, une époque où le prénom Hugo était en plein essor. Ses parents, Caroline et Rodolphe, avaient envisagé d’autres choix comme Enzo, également très en vogue à cette période. « Je pense que mes parents ont opté pour un prénom parmi les plus répandus en France plutôt qu’en hommage à Victor Hugo », confie-t-il.
Une Enfance Entourée d’Autres « Hugo »
Dès son plus jeune âge, Hugo se retrouve entouré d’autres enfants portant le même nom. Selon les statistiques de l’Insee,7 694 garçons ont été prénommés Hugo en 2000,faisant de ce prénom le quatrième plus populaire cette année-là. À l’école primaire,il côtoie plusieurs camarades appelés Thibault et autres prénoms similaires. Pour éviter toute confusion lors des appels en classe, les enseignants ajoutent souvent la première lettre du nom de famille après le prénom : ainsi devient-il rapidement « Hugo D. », un surnom auquel il s’habitue sans arduousé.
Pensées sur l’Identité Associée au Prénom
Le choix d’un prénom peut avoir un impact significatif sur notre identité personnelle tout au long de notre existence. Que ce soit pour se distinguer ou pour s’intégrer dans un groupe social spécifique, chaque individu développe une relation particulière avec son propre nom.
les prénoms ne sont pas simplement des désignations ; ils portent avec eux des récits et influencent nos interactions sociales depuis notre enfance jusqu’à l’âge adulte.
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M. Night Shyamalan sous le feu des projecteurs : un procès pour plagiat ébranle sa série « Servant » !
Un procès captivant s’est ouvert à Riverside, en Californie, où M. Night Shyamalan fait face à des accusations de plagiat lancées par Francesca Gregorini. Elle affirme que sa série Servant, diffusée sur Apple TV+, est une copie de son film de 2013, The Truth About Emanuel, et réclame la somme colossale de 81 millions de dollars.
L’avocat de Gregorini a présenté des extraits troublants mettant en scène une mère et sa poupée. La défense soutient que le projet était déjà en développement avant la sortie du film. Qui sortira vainqueur ?
Affaire de Plagiat : M. Night Shyamalan sous le Feu des Projecteurs
Un procès pour plagiat a été lancé ce mardi à Riverside, en Californie, impliquant le réalisateur M. Night Shyamalan. La plaignante, Francesca Gregorini, affirme que la série servant, produite par Shyamalan pour Apple TV+, est une imitation directe de son film The Truth About Emanuel, sorti en 2013. Elle demande des dommages-intérêts s’élevant à 81 millions de dollars.
Accusations Détails et Comparaisons Éclairantes
L’avocat représentant Francesca Gregorini, Patrick Arenz, a présenté au jury des extraits comparatifs entre les deux œuvres. Ces séquences illustrent une mère prenant soin d’une poupée comme si c’était un véritable enfant, assistée par une nourrice. « C’est un cas flagrant », a-t-il déclaré devant le jury selon Variety. »Sans Emanuel, il n’y aurait pas eu de Servant. »
Divergences dans les Arguments Juridiques
En réponse aux allégations portées contre lui, l’équipe juridique défendant Shyamalan soutient que Tony Basgallop, le créateur britannique derrière la série Servant, avait commencé à développer ce projet bien avant la sortie du film de Francesca Gregorini.
« Elle cherche simplement à tirer profit d’un travail qu’elle n’a pas conçu », a affirmé l’avocate Brittany Amadi lors du procès.En 2020, une première plainte avait été rejetée ; néanmoins, la cour d’appel avait rouvert l’affaire en considérant qu’il existait un débat légitime concernant les « similarités substantielles » entre les deux œuvres.Cette affaire soulève des questions cruciales sur l’originalité dans le secteur cinématographique et pourrait avoir des conséquences significatives sur les droits d’auteur et la propriété intellectuelle dans l’univers du divertissement.
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Une policière ivre et indisciplinée : une bagarre explosive éclate après un vol de voiture ! Plongez dans les rebondissements de cette affaire incroyable !
Actualité : Une nuit tumultueuse à Agen ! Dans un état d’ivresse, une femme d’une trentaine d’années a mordu une policière lors d’une palpation corporelle. Cette agression inattendue a causé trois jours d’incapacité pour la fonctionnaire, soulignant les dangers auxquels elle fait face au quotidien. La mise en cause, désormais convoquée sur procès-verbal, devra répondre de ses actes impulsifs devant la justice.
Restez avec nous pour découvrir l’évolution de cette affaire et bien plus encore !
Agression d’une Policière par une Femme en État d’Ébriété
Dans la nuit du 18 janvier, une femme d’une trentaine d’années, sous l’influence de l’alcool, a mordu une agente de police lors d’un contrôle corporel habituel. Cette agression a causé trois jours d’incapacité totale pour la fonctionnaire. En conséquence, l’individu concerné a été convoqué à comparaître suite à un procès-verbal établi.
Renforcement des Sanctions Judiciaires pour les Actes de Violence à Agen
Le 17 janvier aux alentours de 22 heures, une dispute s’est produite sur le boulevard de la Liberté à Agen, impliquant trois hommes. L’un des participants, avec des marques visibles sur son manteau, a déclaré avoir été attaqué au couteau par les deux autres. Ces derniers ont rejeté les accusations lors de leur interrogatoire. Déjà sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF), ils ont reçu une nouvelle OQTF accompagnée d’une assignation à résidence. La victime n’a pas porté plainte et était introuvable à son domicile.
Affrontements et Tentative de Vol : Comparution au Tribunal en Avril
Un autre incident s’est produit à Villeneuve-sur-Lot où plusieurs individus se sont battus après avoir reçu des menaces liées à un vol automobile avorté. Le parquet a décidé de poursuivre trois passagers en leur proposant une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC). Ils devront se présenter devant le tribunal local fin avril.
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