Divertissement
Le gouvernement sud-africain adopte une loi interdisant totalement les pratiques de conversion !
Une avancée majeure pour la communauté LGBTQIA+ : le gouvernement d’Australie-Méridionale s’apprête à interdire totalement les pratiques de conversion. Kyam Maher, procureur général, déclare que ces méthodes sont « délétères » et constituent une forme d’abus. Les personnes qui infligent des dommages graves pourraient faire face à des peines de prison allant jusqu’à cinq ans. Les survivants pourront déposer des plaintes auprès du Commissaire aux opportunités égales. Cette législation envoie un message fort : vous êtes aimé tel que vous êtes. Ensemble, nous pouvons mettre fin à cette souffrance inutile.
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Divers
Une nouvelle législation est en cours d’introduction au sein du Parlement de l’État d’Australie-Méridionale, visant à interdire complètement les pratiques de conversion dans tout l’État.
Le gouvernement de l’Australie-Méridionale a annoncé aujourd’hui qu’il présentera un projet de loi interdisant ces pratiques lors des sessions parlementaires cette semaine.
Selon la nouvelle législation, toute utilisation des pratiques de conversion, qui prétendent supprimer, modifier ou éliminer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne LGBTQIA+, sera passible de sanctions sévères.
Les auteurs ayant causé des dommages graves aux personnes LGBTQIA+ par le biais des pratiques de conversion pourraient encourir jusqu’à cinq ans d’emprisonnement. De plus, quiconque tenterait de quitter l’Australie-Méridionale en raison de ces pratiques pourrait faire face à des peines allant jusqu’à trois ans d’emprisonnement et/ou une amende pouvant atteindre 15 000 dollars.
Les survivants ayant subi ces pratiques nuisibles pourront déposer une plainte auprès du Commissaire aux Égalités, qui sera ensuite traitée par le Tribunal Civil et Administratif d’Australie-Méridionale.
Le Procureur Général : la thérapie par conversion est « nuisible » et « abusive »
« Le gouvernement australien-méridional envoie un message clair à notre communauté LGBTIQ : vous êtes aimé tel que vous êtes », a déclaré Kyam Maher, Procureur Général d’Australie-Méridionale.
« Les partisans de cette pratique odieuse la qualifient ‘de thérapie’. En réalité, il s’agit d’une forme d’abus.C’est une pratique nuisible qui cherche à contraindre les membres de la communauté LGBTIQ à renoncer à leur identité sous prétexte ‘d’aider’ ou ‘de sauver’ », a-t-il ajouté.
Maher a remercié tous les survivants, défenseurs et leaders religieux qui ont collaboré avec le gouvernement sur ce sujet au cours des dernières années.
Les défenseurs et survivants se réjouissent du projet de loi interdisant les pratiques
Des organisations soutenant les personnes LGBTQIA+ et les survivants en Australie-Méridionale telles que SARAA (SA rainbow Advocacy Alliance), ABBI (Ambassadors and Bridge Builders International), The Brave Network ainsi qu’Amnesty International ont milité pendant plusieurs années pour cette interdiction.
anna Brown,PDG d’Egalité Australie,s’est jointe aux survivants et aux défenseurs locaux aujourd’hui à Adélaïde pour accueillir ce projet tout en soulignant qu’il reste encore beaucoup à faire pour garantir une protection adéquate aux individus concernés.
« Nous nous tenons avec les survivants pour saluer ce projet et exhortons tous les parlementaires à saisir cette occasion afin mettre fin définitivement à ces pratiques néfastes qui n’ont pas leur place dans une Australie moderne », a déclaré Brown.
Elle a également précisé que bien que ce projet soit un bon point départ, il ne doit pas occulter le fait qu’un seul événement peut engendrer une douleur durable tout en attendant des survivants qu’ils portent seuls le poids du respect ban sur leurs épaules.
Quelles sont exactement les pratiques dites « de conversion » ?
Les « pratiques de conversion », anciennement connues sous le nom « thérapie par conversion », ne sont plus considérées comme thérapeutiques car elles n’ont rien en commun avec un traitement médical approprié ; elles existent encore malgré leur rareté croissante dans notre société actuelle.
Le site web SARAA décrit ces méthodes comme suit :
Ces techniques visent soit changer soit réprimer l’orientation sexuelle ou l’identité genre/sexuelle individuelle. Elles sont parfois désignées sous le terme efforts pour Changer l’Orientation Sexuelle ou Identité Genre (SOGICE).
Ces idéologies reposent sur la vision erronée selon laquelle les personnes LGBTQIA+ seraient défectueuses et peuvent être “guérées” afin mener une vie hétérosexuelle “saine” ou adopter une identité conforme au sexe assigné à la naissance. Elles encouragent également un mode vie “sexuellement pur”, souvent via la chasteté ou abstinence dans le but ultime que ces individus changent leur orientation sexuelle ou identitaire.
Bien que certaines méthodes formelles aient été largement abandonnées après avoir été dénoncées par divers organismes professionnels tels que la Société Psychologique Australienne ainsi que l’Association Médicale Australienne ; il existe encore diverses formes informelles où se perpétuent ces idéologies communautaires complexes allant du counseling non régulé jusqu’à prêches religieux promouvant des rôles traditionnels basés sur le genre.
Un rapport conjoint publié en 2018 par le Center Australien pour la recherche sur la Sexualité ,la Santé & Société ainsi que Centre Droit Humain partageait notamment plusieurs témoignages poignants issus directement des expériences vécues par ceux ayant subi ces traitements abusifs.
Il révélait entre autres points communs parmi ses participants :
- Tous avaient conscience dès leur jeune âge concernant leur attirance envers même sexe.
- La foi occupait alors une place centrale durant leurs périodes soumises aux traitements liés.
- Chaque individu portait un profond chagrin lié au sentiment imposé selon lequel ils étaient “défectueux”.
Des recherches supplémentaires montrent aussi fréquemment chez ceux touchés : symptômes PTSD , arduousés psychologiques variées , augmentation risques auto-agression/suicidalités etc…
La publication Prévenir Les Dommages Promouvoir La Justice estime actuellement près 10% Australiens LGBTQIA+ demeurent vulnérables face risques liés thérapeutiques nocifs .
SARAA reçoit régulièrement contact provenant membres communautés ayant vécu expériences similaires principalement issues contextes religieux conservateurs .
Si vous avez souffert suite interventions liées conversions veuillez contacter SARAA ici; sinon adressez-vous organisation locale similaire offrant assistance nécessaires .
Divertissement
« À la rencontre d’un Hugo : une aventure inattendue »
Le prénom, un véritable reflet de notre identité, peut être à la fois lourd à porter et source de fierté. Dans cette chronique fascinante, le réalisateur Hugo David nous plonge dans son expérience avec un prénom très répandu. Né en 2000, il se retrouve entouré d’autres Hugo, ce qui l’amène à adopter un alias : Hugo D.. Comment ce choix a-t-il influencé son parcours ? Explorez les nuances et les histoires derrière nos prénoms et découvrez comment ils façonnent nos vies dès l’enfance jusqu’à l’âge adulte !
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Les Prénoms : Un Voyage au Cœur de l’Identité
Le Rôle Crucial des Prénoms dans nos Existences
Chaque personne possède un prénom, qu’il soit courant ou singulier, et ce dernier peut engendrer à la fois fierté et embarras. Cet article explore la signification profonde et l’influence des prénoms sur notre vie quotidienne. Le réalisateur Hugo David partage son vécu avec un prénom qui a connu une forte popularité durant sa jeunesse.
une Naissance Sous le Signe de la Célébrité
Hugo David est né en 2000 à Tours, une époque où le prénom Hugo était en plein essor. Ses parents, Caroline et Rodolphe, avaient envisagé d’autres choix comme Enzo, également très en vogue à cette période. « Je pense que mes parents ont opté pour un prénom parmi les plus répandus en France plutôt qu’en hommage à Victor Hugo », confie-t-il.
Une Enfance Entourée d’Autres « Hugo »
Dès son plus jeune âge, Hugo se retrouve entouré d’autres enfants portant le même nom. Selon les statistiques de l’Insee,7 694 garçons ont été prénommés Hugo en 2000,faisant de ce prénom le quatrième plus populaire cette année-là. À l’école primaire,il côtoie plusieurs camarades appelés Thibault et autres prénoms similaires. Pour éviter toute confusion lors des appels en classe, les enseignants ajoutent souvent la première lettre du nom de famille après le prénom : ainsi devient-il rapidement « Hugo D. », un surnom auquel il s’habitue sans arduousé.
Pensées sur l’Identité Associée au Prénom
Le choix d’un prénom peut avoir un impact significatif sur notre identité personnelle tout au long de notre existence. Que ce soit pour se distinguer ou pour s’intégrer dans un groupe social spécifique, chaque individu développe une relation particulière avec son propre nom.
les prénoms ne sont pas simplement des désignations ; ils portent avec eux des récits et influencent nos interactions sociales depuis notre enfance jusqu’à l’âge adulte.
Divertissement
M. Night Shyamalan sous le feu des projecteurs : un procès pour plagiat ébranle sa série « Servant » !
Un procès captivant s’est ouvert à Riverside, en Californie, où M. Night Shyamalan fait face à des accusations de plagiat lancées par Francesca Gregorini. Elle affirme que sa série Servant, diffusée sur Apple TV+, est une copie de son film de 2013, The Truth About Emanuel, et réclame la somme colossale de 81 millions de dollars.
L’avocat de Gregorini a présenté des extraits troublants mettant en scène une mère et sa poupée. La défense soutient que le projet était déjà en développement avant la sortie du film. Qui sortira vainqueur ?
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Affaire de Plagiat : M. Night Shyamalan sous le Feu des Projecteurs
Un procès pour plagiat a été lancé ce mardi à Riverside, en Californie, impliquant le réalisateur M. Night Shyamalan. La plaignante, Francesca Gregorini, affirme que la série servant, produite par Shyamalan pour Apple TV+, est une imitation directe de son film The Truth About Emanuel, sorti en 2013. Elle demande des dommages-intérêts s’élevant à 81 millions de dollars.
Accusations Détails et Comparaisons Éclairantes
L’avocat représentant Francesca Gregorini, Patrick Arenz, a présenté au jury des extraits comparatifs entre les deux œuvres. Ces séquences illustrent une mère prenant soin d’une poupée comme si c’était un véritable enfant, assistée par une nourrice. « C’est un cas flagrant », a-t-il déclaré devant le jury selon Variety. »Sans Emanuel, il n’y aurait pas eu de Servant. »
Divergences dans les Arguments Juridiques
En réponse aux allégations portées contre lui, l’équipe juridique défendant Shyamalan soutient que Tony Basgallop, le créateur britannique derrière la série Servant, avait commencé à développer ce projet bien avant la sortie du film de Francesca Gregorini.
« Elle cherche simplement à tirer profit d’un travail qu’elle n’a pas conçu », a affirmé l’avocate Brittany Amadi lors du procès.En 2020, une première plainte avait été rejetée ; néanmoins, la cour d’appel avait rouvert l’affaire en considérant qu’il existait un débat légitime concernant les « similarités substantielles » entre les deux œuvres.Cette affaire soulève des questions cruciales sur l’originalité dans le secteur cinématographique et pourrait avoir des conséquences significatives sur les droits d’auteur et la propriété intellectuelle dans l’univers du divertissement.
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Une policière ivre et indisciplinée : une bagarre explosive éclate après un vol de voiture ! Plongez dans les rebondissements de cette affaire incroyable !
Actualité : Une nuit tumultueuse à Agen ! Dans un état d’ivresse, une femme d’une trentaine d’années a mordu une policière lors d’une palpation corporelle. Cette agression inattendue a causé trois jours d’incapacité pour la fonctionnaire, soulignant les dangers auxquels elle fait face au quotidien. La mise en cause, désormais convoquée sur procès-verbal, devra répondre de ses actes impulsifs devant la justice.
Restez avec nous pour découvrir l’évolution de cette affaire et bien plus encore !
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Agression d’une Policière par une Femme en État d’Ébriété
Dans la nuit du 18 janvier, une femme d’une trentaine d’années, sous l’influence de l’alcool, a mordu une agente de police lors d’un contrôle corporel habituel. Cette agression a causé trois jours d’incapacité totale pour la fonctionnaire. En conséquence, l’individu concerné a été convoqué à comparaître suite à un procès-verbal établi.
Renforcement des Sanctions Judiciaires pour les Actes de Violence à Agen
Le 17 janvier aux alentours de 22 heures, une dispute s’est produite sur le boulevard de la Liberté à Agen, impliquant trois hommes. L’un des participants, avec des marques visibles sur son manteau, a déclaré avoir été attaqué au couteau par les deux autres. Ces derniers ont rejeté les accusations lors de leur interrogatoire. Déjà sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF), ils ont reçu une nouvelle OQTF accompagnée d’une assignation à résidence. La victime n’a pas porté plainte et était introuvable à son domicile.
Affrontements et Tentative de Vol : Comparution au Tribunal en Avril
Un autre incident s’est produit à Villeneuve-sur-Lot où plusieurs individus se sont battus après avoir reçu des menaces liées à un vol automobile avorté. Le parquet a décidé de poursuivre trois passagers en leur proposant une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC). Ils devront se présenter devant le tribunal local fin avril.
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